lundi 5 mars 2012

Développement éolien à Saint-Gédéon de Grandmont - projet 2012





Val-Éo est sélectionnée par Hydro-Québec 
pour une mise en service en décembre 2015


En juillet 2010, dans le cadre d'un appel d'offres, Val-Éo soumettait à Hydro-Québec un projet éolien qui serait situé sur le territoire de Saint-Gédéon de Grandmont. En décembre 2010, la
société d’État annonçait que le projet de Val-Éo figurait parmi les gagnants et fixait la date de mise en service des éoliennes au 1er décembre 2015.

 Le 19 novembre dernier, la Régie de l’énergie du Québec approuvait le contrat d’achat d’énergie intervenu entre Hydro-Québec et Val-Éo, donnant ainsi le signal de départ pour compléter l’ensemble des étapes à franchir en vue d’obtenir les autorisations pour la construction du projet, dont la principale est la réalisation de l’étude d’impact sur l’environnement.

 Ce document d’information vise à fournir aux citoyens et organisations un moyen pour leur
permettre de se tenir informés sur le déroulement du projet.

 Il sera publié périodiquement, au fur et à mesure que les étapes importantes du projet seront franchies.

 Visitez le site www.val-eo.com pour en connaître davantage.

 Vous trouverez sur notre site web  (www.val-eo.com)  de nombreux documents, dont notamment
les deux premiers bulletins d’information publiés en 2010 .


 À suivre….





dimanche 19 février 2012

Les 5 grandes centrales hydroélectriques du Lac St-Jean

Barrage Ile Maligne (1924)     
Centrale de l’Île Maligne (1924) 
(Rio Tinto)                     
La Centrale hydroélectrique de l'Île Maligne est située à 
Alma, au Québec.
La centrale d'une puissance installée de 402 
mégawatts, entrée en service en 1926.


Hauteur de chute 
Capacité installée révisée (juin 2008)
Débit maximal
Superficie du réservoir
33.5 m
448 MW
1 525 m³/s
1 053 km²





Chute du Diable (1952)
Chute du Diable (1952)
(Rio Tinto) 




Hauteur de chute 
Capacité installée révisée (juin 2008)
Débit maximal

Superficie du réservoir
33.5 m
224 MW
850 m³/s
47 km²





Chute  à la Savane (1953)   








Chute à la savane (1953)
(Rio Tinto)

Hauteur de chute 
Capacité installée révisée (juin 2008)
Débit maximal
Superficie du réservoir
33.5 m
245 MW
810 m³/s
18.5 km²




Chute des Passes (1959)
(Rio Tinto)



Chute des Passes (1959)

Hauteur de chute 

Capacité installée révisée (juin 2008)
Débit maximal
Canal d'amenée
 

Canal de fuite
 

Superficie du réservoir
max. 195.1 m
min. 143.3 m
 
833 MW
570 m³/s
longueur 9.3 km
diamètre 10.3 m
longueur 2.5 km
diamètre 14.6 m
316 km²


Barrage Péribonka 4 (2004) :
(Hydro-Québec)

Péribonka 4 (2004)


Barrage
Type : barrage poids
Hauteur : 80 m
Longueur : 630 m

Réservoir
Volume : 1000 Mm³
Surface : 3200 ha

Centrale
Turbine : 3
Puissance installée : 405 MW



      



Parlons de la  Rivière Péribonka...

La rivière Péribonka est une rivière longue de 451 kilomètres (selon certains source, 547 kilomètres, mais il se peut, cette longueur comprend ses affluentes?) qui naît dans les monts Otish, au-delà du 52e parallèle et se jette dans le grand lac Saint-Jean, dans sa section nord, à l’extrémité de la pointe Taillon. La Péribonka est un des principaux cours d’eau qui alimente le lac Saint-Jean.

Son nom dérive de la langue montagnaise, où le vocable pelipaukau signifie «rivière creusant dans le sable» ou «eau qui fait se déplacer le sable».

La municipalité de Péribonka se trouve sur le bord de cette rivière, près de l’embouchure.

Le long de la Péribonka, on retrouve quatre centrales hydroélectriques, dont trois sont privées et appartiennent à l’aluminerie Alcan. Les trois centrales de l’aluminerie ont été construites dans les années 1950, il s’agit des installations suivantes : Central de la Chute-du-Diable (érigée en 1952); Centrale de la Chute à la Savane (1953); Centrale de la Chute des passes (1959). De son côté, Hydro-Québec a aménagé la centrale de la Péribonka, à l'intersection avec la rivière Manouane. Cette centrale est d’une capacité de 385 MW.



La rivière offre une excellente opportunité de pratiquer le kayak. En fait, peu fréquentée jusqu’en 1996 à cause du flottage du bois, aujourd’hui, elle est devenue l’une des destinations prisées de kayakistes.

Le chemin des Passes-Dangereuses suit la rivière et permet d’y avoir accès.

De la coupe forestière s’y fait depuis très longtemps, mais un Comité pour la sauvegarde de la Rivière Péribonka (CSRP) fait des démarches pour y interdire ou limiter les activités industrielles. Selon le CSRP, a lieu une dramatique destruction du potentiel récréotouristique de la rivière Péribonka. Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune maintien, de sa part considère que les coupes forestières n’influent pas négativement sur la région. En tout cas, la coupe forestière fait l’objet d'une controverse.

Le parc national de la Pointe-de-Taillon se trouve dans l'estuaire de la rivière.

Cette région a été immortalisée dans le roman Maria Chapdelaine, de l'écrivain français Louis Hémon, écrit au début du XXe siècle.


 

     




À noter que les Centrales hydroélectriques  "Chute du Diable",  "Chute à la Savane", "Chute des Passes" ainsi que "Péribonka 4" sont sur la Rivière Péribonka 
tandis que 
la "Centrale Île Maligne" est sur la Grande Décharge à Alma.

Les barrages de "Chute du Diable", "Chute à Savane", "Chute des Passes" et "Centrale Île Maligne" appartiennent à Rio Tinto 

tandis que 
"Péribonka 4" appartient à Hydro Québec.






L'histoire de la Centrale de l’Île Maligne: 


(Alma)



Sa construction a commencé en 1923 et se termine en 1925. Après deux ans de travaux, c’est la fête ! Sous les applaudissements de la foule, une énorme turbine vient de produire ses premiers kilowatts. Au mois de mai, on installe sept autres turbines et, à la fin de l’année 1925, la Centrale de l’Isle-Maligne devient la plus puissante usine d’électricité du monde. Elle produira 402 mégawatts d’électricité, un record que battra la centrale de Shipshaw, qui entrera en service pendant la Deuxième Guerre mondiale.

Depuis la centrale, on va tirer une ligne à haute tension jusqu’à l’usine d’aluminium d’Arvida, près de Chicoutimi, et une autre vers Québec, pour mieux éclairer la ville.

Cette première fait suite à la décision prise par le ministère des Terres et Forêts en 1922 de concéder un territoire important à la Quebec Development de Duke-Price dans le but d'installer un barrage électrique au Saguenay-Lac-Saint-Jean.

L'usine hydroélectrique d'Isle-Maligne peut produire plus de 720 mégawatts. Cette énergie servira à alimenter la nouvelle usine de pâtes et papier Price située à Riverbend, près d'Alma. Le surplus sera utilisé par l'Alcan d'Arthur Vining Davis à laquelle la Price s'associera. À la suite de la réorganisation à la Duke-Price, en 1935, c'est la Saguenay Power qui exploitera le barrage d'Isle-Maligne. 
La Centrale de l’Isle-Maligne appartient depuis 2007 à Rio Tinto Alcan (fusion de Rio Tinto et Alcan)[1]. En juin 2008, sa puissance a été augmentée à 448 mégawatts[2] et, avec d’autres centrales de la région, elle sert à produire plus d'un million de tonnes d’aluminium par an.


Source :    





Configuration géographique :


À l'endroit où les eaux du lac Saint-Jean pénètrent dans la rivière Saguenay, l'île d'Alma sépare celle-ci en deux bras nommés la Petite-Décharge au sud et la Grande-Décharge au nord. Avant la construction des barrages, les deux Décharges étaient d'étroits goulots parsemés d'îles, de rochers et de chutes d'eau. La Grande-Décharge avait un débit un peu plus important et pouvait donc intéresser particulièrement les compagnies hydro-électriques au début du XXe siècle. Un peu en avant de la Grande-Décharge, se trouvait l'île Maligne, dénommée ainsi à cause des difficultés qu'on avait autrefois à l'aborder. Sa longueur était d'environ 1,5 km de long. La Grande-Décharge se terminait à la Chute-à-Caron à l'extrémité est de l'île d'Alma.





Répertoire des barrages : Saguenay / Lac-Saint-Jean;
   (Publié par le gouvernement du Québec)

Cliquez  ICI 














La Tragédie du lac Saint-Jean en bref:




À Roberval - 30 mai 1928



À la fin des années 1920, a la suite de la construction d'un barrage à la hauteur de la Grande Décharge à Alma, le niveau du lac a été monté de façon considérable. 


Ce qui a eu pour effet que des centaines d'hectares de terres cultivables ont été inondées à jamais. 

Les cultivateurs représentés par M. Onésime Tremblay ont tenté tout ce qui était en leur pouvoir pour rétablir ce qui n'aurait jamais dû être fait. 

Ce fut un échec et les cultivateurs établis sur les rives du lac Saint-Jean ont été les grands perdants.

Plus d'infos sur la "Tragédie du Lac Saint-Jean" en cliquant  ICI.









Sur le blogue des Bleuets, une autre publication sur la Tragédie du Lac St-Jean:

    Revenons sur "la Tragédie du Lac St-Jean"  (cliquable)






http://www.facebook.com/LaPageDesBleuetsDuLacSaintJean?ref=hlX"*

Tourisme / L'avenir du bateau La Tournée est remis en question (Dam en Terre à Alma - 2012)




Par Radio-Canada, www.radio-canada.ca, Mis à jour le: 17 février 2012

Le bateau de croisière La Tournée a besoin de réparations coûteuses pour continuer sa mission. La ville d'Alma, qui en est propriétaire, doit aussi composer avec une baisse de clientèle.

La Tournée effectue des croisières sur le lac Saint-Jean depuis une trentaine d'années.
C'est la Garde côtière qui exige maintenant ces réparations majeures. Les trois moteurs sont usés, et les réparer coûterait au moins 175 000 dollars. Idéalement, il faudrait les remplacer pour qu'ils soient moins polluants, mais cette décision coûterait beaucoup plus cher.
La municipalité doit aussi composer avec une baisse de clientèle. Le nombre de croisiéristes est passé de 14 000 à 5 000 au fil des ans. À chaque année, la ville doit éponger un déficit d'exploitation.
Les dirigeants du complexe touristique de la Dam-en-Terre vont entreprendre une réflexion sur l'avenir du bateau de croisière. Tous les scénarios seront envisagés, même l'abandon du service.



Mon opinion :
À mon avis, la ville d’Alma devrait faire les réparations exigées sur le bateau.  

Pour ce qui est de la baisse de clientèle, c’est certain qu’il y a un lien direct avec ‘dame météo’.

Avec la Véloroute des Bleuets qui est de plus en plus achalandée,  d’avantage de publicité et quelques innovations …le bateau La Tournée devrait  continuer à se promener sur les eaux du Lac Saint Jean pour le plaisir de tous.

 La population du Lac Saint-Jean devrait aussi faire l’expérience d’une ballade sur  La Tournée….combien de Jeannois n’ont jamais vécu l’expérience d’une escapade sur La Tournée? 
C’est en l’ayant vécue que nous pouvons apprécier, être convaincus  pour devenir  convaincants.
Pensons-y et espérons que les décideurs de la Ville d’Alma prendront la bonne décision.  

Je souhaite longue vie au bateau La Tournée!

La Jeannoise



Mise à jour 2016

Le bateau La Tournée a effectivement subi une cure de rajeunissement et son port d'attache est au port du Centre de Villégiature Dam-en-Terre à Alma.

Plusieurs services offerts tels que  différents croisières, service de bar, service de traiteur et différents forfaits disponibles.       Pour plus d'infos cliquez  ICI.







mardi 14 février 2012

Chercher une résidence pour personnes âgées, comme on cherche un hôtel





Les résidences privées pour personnes âgées peuvent adhérer à un nouveau programme de certification. Les propriétaires qui le voudront pourront très bientôt connaître et faire savoir à leur clientèle qu'elle est la qualité de vie qu'offre leur établissement. Tout cela grâce au Programme Qualité Logi-être.

Un reportage de Sonia Lavoie, TVA Nouvelles Saguenay/Lac St-Jean






La FADOQ (Fédération de l’âge d’or du Québec) lance un nouveau programme

Publié le 13 février 2012 dans Le Quotidien

Par Denis Villeneuve

(Chicoutimi) La Fédération de l'âge d'or de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean lance le programme Qualité Logi-être, une nouvelle initiative d'appréciation de la qualité de vie en résidences privées.

Selon Jean-Marie Pedneault, président du réseau FADOQ régional, il s'agit d'un programme volontaire d'appréciation de l'environnement humain et physique lequel vise à classifier et à différencier les résidences, le tout basé sur une analyse de la qualité réalisée par un professionnel. Celui-ci a pour mission d'apprécier la qualité des résidences sur les plans physiques et humains. Le tout est basé sur 26 normes de qualité reconnues au Québec et à l'international (bâtiments, repas, loisirs, relations avec les résidants etc.) et cela, en tenant compte des spécificités des résidences en fonction du type d'hébergement offert. Les résidences de neuf unités et moins et celles de dix et plus bénéficieront d'une reconnaissance Qualité Logi-être, selon leur catégorie.

En plus, s'ajoute une mesure de satisfaction des résidants. Celle-ci permettra de connaître la satisfaction des aînés en rapport avec les services offerts. Des bénévoles rencontreront de façon aléatoire et confidentielle des résidants pour connaître leur satisfaction. Ces visites pourront durer de quelques heures à une journée, en fonction de la taille de la résidence. Il existe une multitude de résidences pour personnes aînées dans la région.

Source :     http://www.cyberpresse.ca/le-quotidien/le-quotidien-du-jour/201202/13/01-4495485-la-fadoq-lance-un-nouveau-programme.php 



        Qu’est-ce que le Programme QUALITÉ LOGI-ÊTRE ?



... un programme d’amélioration continue de la qualité pour les résidences privées pour ainés. Créé à l’initiative du Réseau FADOQ, il est composé de professionnels qui apprécient la qualité de l’environnement physique et humain de chaque résidence. Ces professionnels sont appuyés par des bénévoles qui apprécient la satisfaction des résidents.

... un programme se fondant sur cinq valeurs fondamentales du Réseau FADOQ et sur 26 normes de qualités reconnues au Québec, comme à l’international. Ces valeurs sont les cinq axes de qualité auxquelles doivent répondent les exploitants quand ils s’engagent dans le Programme.

... un programme créé à partir de l’expertise du Réseau FADOQ avec le soutien financier du Ministère de la Santé et des Services sociaux et du Ministère de la Famille et des Ainés/Secrétariat aux ainés. Complémentaire à la certification gouvernementale, il fait suite au Programme ROSES D’OR, mis en place par le Réseau FADOQ en 1998 et arrêté en 2009.

Extrait de :   http://www.logi-etre.com/fr/Programme/   

Pour plus d’informations :       http://www.fadoq.ca/      




http://www.facebook.com/LaPageDesBleuetsDuLacSaintJean/