► Cet achat massif de terres agricoles dans la région provoque bien des
questionnements….
► Il y a pourtant certaines règles à respecter pour
pouvoir acheter de telles
terres….
terres….
► Le silence du principal intéressé ne permet pas d’éclaircir
le ‘mystère’.
► Voici quelques publications qui décrivent les
bouleversements dans le domaine de l’agriculture au Lac St-Jean :
Agriculture -
L'achat massif de terres agricoles au Lac-Saint-Jean soulève des inquiétudes
L'achat massif de terres agricoles au Lac-Saint-Jean par la Banque Nationale du Canada et
un investisseur privé, Éric Dubé, suscite l'inquiétude des agriculteurs.
Radio-Canada dévoilait mardi qu'Éric Dubé et des partenaires auraient mis la main sur près d'une centaine de lots agricoles dans plusieurs municipalités du Lac-Saint-Jean, depuis un an et demi. Depuis janvier, l'homme d'affaires a fait des achats pour son employeur, la Banque Nationale du Canada.
Les terres sont par la suite cultivées dans l'objectif de faire des rendements. Claude Breton, le porte-parole de la Banque Nationale, indique que l'institution veut en faire bénéficier les caisses de retraite, dont celles des employés de la banque.
Des producteurs inquiets
Des producteurs, comme Gérald Rousseau de Saint-Stanislas, sont préoccupés par ces transactions. M. Rousseau exploite des terres pour nourrir ses animaux dans le nord du Lac-Saint-Jean. Il loue des acres d'un autre agriculteur, dont 450 sont dans la mire de la Banque Nationale. Il pourrait les acheter, mais il soutient que l'institution financière offre au propriétaire trois fois le prix de leur valeur.
Il s'interroge sur le rôle de la Banque Nationale, alors que lui-même est un client de l'institution.
L'UPA sonne l'alarme
L'Union des producteurs agricoles (UPA) tire la sonnette d'alarme. L'organisation craint que la hausse du prix des terres risque de changer le visage de l'agriculture au Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Le président régional de l'UPA, André Fortin, affirme que les maires des municipalités du Lac-Saint-Jean doivent se montrer vigilants.
Le préfet de la MRC Lac-Saint-Jean Est et maire de Saint-Henri-de-Taillon, André Paradis, assure qu'il compte suivre le dossier de très près.
Le porte-parole de la Banque Nationale, Claude Breton, réfute les rumeurs voulant que des investisseurs chinois soient derrière ces transactions.
La Banque Nationale a reçu de nombreuses plaintes d'agriculteurs à la suite de ces transactions.
L'achat massif de terres agricoles au Lac-Saint-Jean soulève des inquiétudes
L'achat massif de terres agricoles au Lac-Saint-Jean par la Banque Nationale du Canada et
un investisseur privé, Éric Dubé, suscite l'inquiétude des agriculteurs.
Radio-Canada dévoilait mardi qu'Éric Dubé et des partenaires auraient mis la main sur près d'une centaine de lots agricoles dans plusieurs municipalités du Lac-Saint-Jean, depuis un an et demi. Depuis janvier, l'homme d'affaires a fait des achats pour son employeur, la Banque Nationale du Canada.
Les terres sont par la suite cultivées dans l'objectif de faire des rendements. Claude Breton, le porte-parole de la Banque Nationale, indique que l'institution veut en faire bénéficier les caisses de retraite, dont celles des employés de la banque.
Des producteurs inquiets
Des producteurs, comme Gérald Rousseau de Saint-Stanislas, sont préoccupés par ces transactions. M. Rousseau exploite des terres pour nourrir ses animaux dans le nord du Lac-Saint-Jean. Il loue des acres d'un autre agriculteur, dont 450 sont dans la mire de la Banque Nationale. Il pourrait les acheter, mais il soutient que l'institution financière offre au propriétaire trois fois le prix de leur valeur.
Il s'interroge sur le rôle de la Banque Nationale, alors que lui-même est un client de l'institution.
L'UPA sonne l'alarme
L'Union des producteurs agricoles (UPA) tire la sonnette d'alarme. L'organisation craint que la hausse du prix des terres risque de changer le visage de l'agriculture au Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Le président régional de l'UPA, André Fortin, affirme que les maires des municipalités du Lac-Saint-Jean doivent se montrer vigilants.
Le préfet de la MRC Lac-Saint-Jean Est et maire de Saint-Henri-de-Taillon, André Paradis, assure qu'il compte suivre le dossier de très près.
Le porte-parole de la Banque Nationale, Claude Breton, réfute les rumeurs voulant que des investisseurs chinois soient derrière ces transactions.
La Banque Nationale a reçu de nombreuses plaintes d'agriculteurs à la suite de ces transactions.
Publié le 28 mars 2012. Par Pierre Luc Gagné.
La Banque Nationale a acheté près de 100 lots dans le haut du Lac pour ces
fonds d’investissements. Uneferme familiale typique a 3 peut-être 4 lots. C’est
énorme.
L’histoire est nébuleuse parce que l’employé de la Banque Nationale qui
fait les achats, Éric Dubé, ne veut pas parler au médias et a très probablement
acheté des terres lui-même avant de commencer le projet de la Banque Nationale.
Pourquoi est-ce qu’ils achètent toutes ces terres ? La Banque Nationale
mise sur la spéculation dans le marché agricole qui va faire monter les prix de
la nourriture. Et pour qu’ils achètent autant, c’est qu’ils sont vraiment sûr
que ça va arriver. Ils n’achètent pas les terres pour les revendre. Ils les
opèrent.
Au final, c’est triste pour les petites fermes
qui veulent prendre de l’expansion. La Banque Nationale achète tout et c’est
impossible de mettre la main sur des terres.
Agriculture - Achat massif de terres agricoles au Lac-Saint-Jean
Depuis un
an et demi, un investisseur privé, Éric Dubé, avec des partenaires, auraient
mis la main sur près d'une centaine de lots agricoles dans plusieurs
municipalités du Lac-Saint-Jean.
L'homme
d'affaires a fait des achats pour son employeur, la Banque Nationale du Canada,
depuis janvier.
Il s'agit
d'une première au Québec. Les terres sont achetées, puis cultivées dans le but
de faire des rendements, principalement au nord du Lac-Saint-Jean.
Selon
Claude Breton, le porte-parole de la Banque Nationale, l'objectif est de faire
bénéficier les caisses de retraite, dont celles des employés de l'institution
financière.
À
Saint-Henri-de-Taillon, par exemple, Johanne Bouchard et André Lemay de la
Ferme Franjolain ont vendu leur production céréalière en moins de deux mois,
soit huit lots agricoles. L'homme derrière cette transaction de plusieurs
centaines de milliers de dollars est Éric Dubé, qui représente la Banque
Nationale du Canada. C'est lui qui conclut ces transactions depuis plus d'un
an. Les propriétaires de la ferme de Saint-Henri-de-Taillon ne l'ont toutefois
jamais rencontré. Ils ont fait affaire avec un agent immobilier.
Éric Dubé
s'est installé à Saint-Félicien en 2010. Il refuse de donner ses commentaires à
la suite de ces transactions.
De son
côté, le maire de Saint-Félicien, Gilles Potvin, affirme qu'il faut vivre avec
cette nouvelle réalité, tout en faisant preuve de vigilance.
Un questionnement bien légitime...n'est-ce pas?
Autre billet publié sur le BLOGUE des Bleuets:
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