Bienvenue sur le blogue des Jeannois!!! - - -
On surnomme les 'Bleuets' les
personnes qui habitent au Lac Saint-Jean, une composante d'une des régions administratives du Québec
soit celle du Saguenay/Lac Saint- Jean(Québec,Canada). - - -
Le Bleuet c'est aussi un petit fruit bleu. - - -
Bienvenue aux 'Bleuets' qui sont nés
ou qui ont déjà habité au lac Saint-Jean! - - -
Bienvenue également à ceux qui s'intéressent à notre région!
Saison de chasse
2012: Chasse à l'orignal légèrement écourtée
(Source: Radio-Canada) Le
ministère de la Faune annonce un changement majeur dans la saison de la chasse
à l'original avec arme à feu cette année.
Pour la première fois, le
dernier week-end sera amputé pour laisser plus de place en forêt aux chasseurs
de petits gibiers.
La saison de la chasse à
l'original débute dans un peu plus d'une semaine, soit le 22 septembre et
s'étend jusqu'au vendredi 12 octobre. L'agent de protection de la faune, Régis
Girard, ne croit pas que cette mesure nuise aux chasseurs de gros gibiers.
Cette année, seuls les
mâles et les veaux peuvent être abattus. Les amateurs de chasse à l'arc et à
l'arbalète peuvent déjà s'adonner à la chasse en forêt.
Voir l'article au
Le début de saison est une
période importante pour rappeler les règles de sécurité. Régis Girard répète
qu'il est interdit d'avoir une arme à feu chargée à bord d'un véhicule. Chaque
année, une quarantaine d'infractions sont données aux contrevenants.
Imaginez-vous dans le Parc des sentiers de la nature au lever du soleil avec
une brume matinale qui entoure les orignaux. Quelle belle photo! Et bien, le
Zoo sauvage vous offre de mettre vos talents de photographe à l’oeuvre.
Le conducteur de train fera des arrêts permettant de prendre des photos
exceptionnelles des espèces animales qui peuplent les sentiers. Et pourquoi ne
pas en profiter pour observer les comportements des cervidés, en période de
reproduction, qui arborent leurs somptueux panaches.
Une balade inoubliable où le silence des visiteurs permettra d’entendre
parler la forêt.
HORAIRE :
Le samedi 22 septembre 2012 (remis au lendemain en cas de mauvaise
température.) de 7 h à 9 h.
Arrivée des participants à 6 h 30 à la billetterie du Zoo.
COÛT :
Coût incluant petit déjeuner et accès au Zoo :
Adulte
(15 ans et plus) : 60 $
Enfant
(3 à 14 ans) : 30 $
Enfant
(moins de 3 ans) : gratuit
Coût incluant un rabais aux détenteurs du Passeport Zoo :
Adulte
(15 ans et plus) : 30 $
Enfant
(3 à 14 ans) : 15$
Enfant
(moins de 3 ans) : gratuit
Les taxes sont inclusent.
Activité sur inscription : 418-679-0543 poste 5241 ou par courriel
LBR.ca - Normandin, 31 août 2012 Le projet de conversion des urinoirs mis de l’avant
à la Polyvalente de Normandin par Alan Asselin, Jean-François Fortin, Samuel
Fortin et Jean-Christophe Bouchard-Frigon s’est concrétisé. Grâce à
l’installation d’un système d’urinoirs avec turbines et oeil magique, une
économie de plus d’un million de litres d’eau potable par année sera réalisée.
C’est réunis dans l’unité sanitaire
réservée aux garçons de l’école secondaire, que l’on a procédé à l’inauguration
des nouveaux urinoirs. Partenaires, initiateurs et représentants du monde
scolaire étaient réunis pour l’occasion. Les mots de félicitations sont venus
de toute part.
Rappelons que l’an dernier, quatre
élèves de cinquième secondaire de la Polyvalente de Normandin, Alan Asselin,
Jean-François Fortin, Samuel Fortin et Jean-Christophe Bouchard-Frigon
s’étaient lancé un défi de taille : celui de convertir écologiquement les
urinoirs de leur école. Une transformation permettant l’économie de plus d’un
million de litres d’eau par année.Constatant que les urinoirs de l’école
semblaient fonctionner à toute heure du jour et de la nuit, Jean-Christophe
Bouchard-Frigon, Samuel Fortin, Jean-François Fortin et Alan Asselin ont
analysé la quantité d’eau utilisée pour le fonctionnement de ces urinoirs.
« En mesurant le niveau des réservoirs
et en évaluant le mode de fonctionnement des urinoirs et la fréquence des
lavages, nous avons constaté que plus de 1 314 000 litres d’eau étaient
gaspillés chaque année pour le seul fonctionnement des douze urinoirs. Les
urinoirs coulent de façon régulière gaspillant 150 litres d’eau à l’heure. Ça a
été tout un choc de réaliser ça! », de raconter Alan Asselin. Les jeunes hommes
ont donc voulu trouver une solution pour cesser le gaspillage d’eau de ces
urinoirs qui ne servent que le matin, aux récréations et sur l’heure du midi, alors
que le système, quant à lui, fonctionne 24 heures sur 24, hiver comme été.
Après quelques recherches, les élèves
ont découvert l’existence d’un système d’urinoirs avec turbines et oeil
magique, dont les lavages s’effectuent après chaque utilisation plutôt qu’en
continu. L’installation d’un tel système résulterait en une économie de près de
85 %, soit plus d’un million de litres d’eau par année. Le projet était donc
lancé. Pour réaliser leur projet, une somme de 15 000 $ devait être amassée.
Désirant d’abord poser un geste concret
pour l’environnement, ces quatre jeunes ont sensibilisé toute une communauté
sur l’importance d’économiser l’eau potable. Ainsi, l’entreprise EMCO, le
Marché Métro Plus Dany Boutin via le fonds Métro Éco École, député sortant Denis
Trottier et la Ville de Normandin sont du nombre des partenaires. Des bourses
de la CSST ainsi que du Concours québécois en entrepreneuriat, dont les jeunes
ont été nommés lauréats au plan local ainsi que des subventions ministérielles
ont complété le montage financier.
Le projet réalisé dans la cadre du
cours Projet personnel et leadership ne s’est pas arrêté qu’au
remplacement des urinoirs. C’est toute la salle de toilettes qui a été revampée
et on analyse la possibilité d’annexer un volet II au projet. Les finalistes
hebdomadaires de Forces AVENIR et lauréats AVENIR de l’année dans la catégorie
AVENIR Projet engagé étaient loin de se douter que leur projet de
transformation des urinoirs de leur polyvalente allait prendre une telle
ampleuré.
Source : Marie-Claude Parent Conseillère en communication Commission scolaire du Pays-des-Bleuets Tél. : 418 276-2012, poste #4010
La canneberge fait sa place dans le royaume du bleuet.
Le bleuet n'est maintenant plus le seul petit fruit qu'on cultive à grande échelle au Saguenay-Lac-Saint-Jean. La canneberge a faitson apparition et le potentiel est énorme dans la région.
Elle pousse à l'état naturel dans les tourbières. Cette plantation plutôt discrète devient flamboyante en octobre : les champs sont alors inondés pour faire flotter le fruit à la surface et en faciliter la récolte.
La région possède le climat idéal pour produire le petit fruit rouge et les milliers d'âcres de tourbières sont des terrains parfaits. En plus, la canneberge du Lac-Saint-Jean est 100% biologique.
Noms communs : canneberge, atoca, airelle des marais. Nom scientifique : Vaccinium macrocarpon (Oxycoccus macrocarpus, Oxycoccus spp.). Famille : éricacées.
POURQUOI METTRE LA CANNEBERGE AU MENU? Elle apporte de la nouveauté dans les plats cuisinés. Son jus est rafraîchissant. Sa saveur acidulée en fait un bon ingrédient pour les vinaigrettes.
Remplie d’antioxydants, elle contribue à prévenir les infections du système urinaire, les maladies cardiovasculaires, les cancers et les problèmes liés au vieillissement.
Description
La canneberge est une plante vivace qui pousse à l'état sauvage dans les tourbières acides. L'arbrisseau à feuilles persistantes ne dépasse pas 30 cm de haut. Bien cultivé, ce végétal peut vivre plus de cent ans.
Ses rameaux minces et rampants peuvent atteindre une taille de 80 cm.
Ses fleurs sont petites, ovales et roses. Contrairement à la majorité des espèces de Vaccinium, les corolles ne sont pas en forme de clochettes mais ouvertes. Quelques très rares bourdons ont été observés comme pollinisateurs.
Au Québec, on emploie principalement le terme canneberge, bien que l'on utilise parfois également « atoca » ou « ataca », noms empruntés aux langues iroquoises[
L'appellation « canneberge » viendrait de la ressemblance de la tige terminale supportant la fleur à une canne de berger.[
Culture
La culture de la canneberge est assez complexe. Elle nécessite d'énormes quantités d'eau pour protéger les bourgeons contre le gel au printemps et à l'automne, ainsi que les plants pendant l'hiver. En effet, la création d'une couche de gel autour des plants permet de les maintenir à 0 °C et donc de les protéger du grand froid et des vents asséchants. Au printemps, 4 cm de sable sont déposés sur la glace si bien que lorsque la glace fond, le sable tombe sur les plants, détruisant les insectes. La canneberge est cultivée dans des bassins sablonneux appelés cannebergières ou atocatières (au Québec). Elle donne ses premiers fruits à partir de la quatrième année.
Historiquement, les cannebergières étaient implantées dans les marais et tourbières. Actuellement les canneberges sont cultivées dans des bassins sablonneux peu profonds construits sur les terres hautes. Pour cultiver la canneberge, plusieurs éléments clés sont essentiels à la croissance. Ces conditions nécessaires se retrouvent dans les tourbières. La plante exige un pH acide de 4 à 5 et une grande quantité d’eau à cause de la morphologie de ses racines. Au mois d’octobre, la plantation devient flamboyante et les bassins sont inondés pour faire flotter le fruit, ce qui facilite la récolte.
Bien entretenus, les plants de canneberge peuvent produire pendant plus de cent ans.
Récolte
Jadis cueillies à l'état sauvage par les Indiens d'Amérique du Nord, les canneberges sont cultivées de façon de plus en plus intensive. La récolte, souvent mécanisée, se déroule la plupart du temps de fin septembre à début octobre. Surnommées « batteurs à œufs », d'énormes machines servent à les ramasser selon une technique industrielle dite « wet » (humide). Les engins brassent l'eau qui recouvre les arbustes plantés dans les marais. Détachés, les fruits mûrs remontent à la surface. Il faut alors les amener vers un bord de la tourbière. Les agriculteurs, dans l'eau jusqu'aux genoux, emprisonnent les fruits dans un boudin flottant. La récolte terminée, les baies seront séchées et nettoyées puis, par un système de tapis roulants, chargées à bord des camions. La récolte doit rejoindre le plus rapidement possible les entrepôts de stockage où elle sera calibrée et congelée.
Présentations des produits
La canneberge est commercialisée fraîche depuis la période de récolte (septembre) jusqu'à la fin de l'année, le fruit se conservant bien naturellement. Elle est aussi vendue sous forme de jus pur ou en mélange, et de fruit séché, dans les magasins de produits diététiques et bio, ainsi que sous forme de complément alimentaire (gélules, comprimés, sachets, etc.) en pharmacie.
Gastronomie
Seules ou mélangées à des pommes, du raisin, de la framboise ou d'autres baies, les canneberges servent à la fabrication de plus de dix millions de litres de jus de fruit par an. L'exportation se développe, surtout vers la Grande-Bretagne. Ils sont également utilisés pour faire des confitures[14], des shampooings ou/et d'autres cosmétiques.
La dinde aux canneberges est un plat traditionnel américain servi à l'occasion de l'Action de grâce (Thanksgiving). En Suède, une variété d'airelles appelée lingon entre aussi dans la composition de nombreux plats traditionnels comme le Köttbullar par exemple, une recette de boulettes de viande.
Qualités thérapeutiques
Le fruit de la canneberge (Vaccinium macrocarpon) est reconnu pour ses qualités thérapeutiques, en premier lieu en tant qu'antioxydant, qualité mesurée par exemple par la valeur ORAC(Oxygen radical absorbance capacity)].
Antioxydants
La canneberge est riche en vitamine C et en antioxydants, en particulier des flavonoïdes. Bien que non-démontré scientifiquement, certains courants de médecine alternative affirment que les antioxydants permettent de neutraliser les radicaux libres du corps et, ainsi, prévenir l'apparition de certains cancers, de maladies cardiovasculaires, et de diverses maladies liées au vieillissement.
Il contient un élément particulier, la proanthocyanidine de type A (PAC A). Ce composé empècherait certaines bactéries Escherichia coli responsables des cystites d'adhérer à la vessie et de causer l'infection. Ne bénéficiant pas de point d'ancrage, ces bactéries sont alors naturellement éliminées par les voies naturelles[].
Prévention des infections urinaires : Boire de 250 ml à 500 ml par jour de cocktail de canneberge (ce qui équivaut à 80 ml à 160 ml de jus pur), ou prendre, deux fois par jour, l'équivalent de 300 mg à 400 mg d'extrait solide sous la forme de capsules ou de comprimés. On peut également consommer les fruits frais ou congelés à raison de 125 ml à 250 ml par jour.
La canneberge d’Europe (Vaccinium oxycoccos) n'est pas validée pour l'usage dans la prévention des infections urinaires.
Débat sur les qualités thérapeutiques de la canneberge: Des études divergentes concernent l'effet du jus de canneberge sur les infections urinaires. Selon certaines études, il n'y a pas d'effet sur les infections urinaires, même sur certaines sous-populations. Une étude retient l'intérêt de la canneberge en comparaison au traitement aux antibiotiques, à cause des effets secondaires moindres et de l'inconvénient de la sélection des souches résistantes avec les antibiotiques[20]. Selon d'autres auteurs, la canneberge contient une substance particulière, la proanthocyanidine de type A (PAC A), un polyphénol qui contribue à diminuer la fixation, sur les parois des voies urinaires, de certaines bactéries coliformes (Escherichia coli) souvent responsables d'infections urinaires. Ces études[21] qui mettent en avant un effet protecteur et non curatif ont été validées par plusieurs avis de l'administration française[22],[23],[24].
L'EFSA, dans le cadre de la révision de toutes les allégations de santé (Règlement 1924/2006), a jugé que les études fournies n'étaient pas suffisantes pour étayer les allégations de santé concernant les infections urinaires.
Soins dentaires
La canneberge pourrait aussi être efficace pour soigner ou prévenir la gingivite et la parodontite (inflammation des gencives).
La proanthocyanidine, dont les effets antiadhésifs sur certaines bactéries responsables des infections urinaires sont probables (voir plus haut), permettrait également d'éliminer certaines bactéries dentaires en créant une sorte de film protecteur.
Il est important de noter que les jus commerciaux offerts sur le marché ont une teneur élevée en sucre et une forte acidité. Ils ne sont donc pas bienfaisants en ce qui concerne l’hygiène buccale.
Les Atocas du Nord
prisés autour du globe grâce au travail et à la
persévérance de gens de chez
nous (Atocas Lac St-Jean) :
►Partoutsur le globe, les grandes tablées du temps des fêtes ne seraient pas les
mêmes sans cette petite baie rouge qui embellit nos assiettes.Les propriétaires d’Atocas Lac Saint-Jean,
située à Dolbeau-Mistassini sont probablement, comme Obélix, tombés dans la
marmite lorsqu’ils étaient petits.Ils
parlent de cette culture avec un attachement profond à la terre et partagent
avec conviction tout le potentiel d’exploitation d’une cannebergière.
Pionniers
dans le domaine au Saguenay Lac St-Jean, Judes Tremblay et Robert Paradis, ont
développé depuis 1993, 60 acres et leur exploitation comptera 75 acres en 2012.
L’avantage
de la nordicité;
Au Lac
St- Jean il était difficile de concurrencer la masse de producteurs situés au
Centre du Québec.« Notre baie est
plus petite et d’un rouge plus foncé. La nordicité a été perçue comme une
contrainte avant de découvrir quel serait notre caractère distinctif sur le
marché international, explique monsieur Tremblay.En résumé l’approche bio se marie bien avec
le contexte nordique » .
« Nous
avons prouvé la rentabilité avec un chiffre annuel de 700,000$, maintenant nous
souhaiterions bâtir une force régionale », exprime monsieur Paradis.
Où se procurer des produits
transformés de la canneberge?
Entre autres,La Cannebergerie, une entreprise Jeannoise qui
œuvre dans la fabrication artisanale de produits de canneberges biologiques, offre
des canneberges en gelée biologiques et des canneberges en sauce biologiquesdisponibles à plusieurs pointsde vente énumérés surhttp://lacannebergerie.com/point-de-vente.php
Des
atocatières situéesau Lac
St-Jean :
·Atocas Lac St-Jean, 212 rte Ste Marguerite
Marie à Dolbeau-Mistassini.
·Canneberges
Maria-Chapdelaine, 403 rte de Milot à St-Augustin.
VIDÉO
Extrait de l'Émission L'Épicerie / La Canneberge
Escapade Gastronomique :
Les canneberges seront de la fête 8 septembre 2012
La
quatrième édition de l’Escapade Gastronomique de la MRC Maria-Chapdelaine a
pris son envol hier. Les canneberges seront à l’honneur cette année et dans
cette édition,«on a voulu montrer aux gens qu’on n’a pas
besoin de vivre dans les grandes villes pour goûter aux plus sophistiqués et
délicieux des menus».
Potence au
cerf rouge, magret de canard et sauce relevée de son foie gras et canneberges
confites, filet de doré amandine, délice au fromage et canneberges… les six
restaurants impliqués dans le projet ont laissé aller leur cuisinier et leur
imagination, question d’en mettre plein la vue et la bouche. «L’idée est de
dévoiler les qualités culinaires de la région et de les promouvoir», explique
Louis Darackian, agent de développement rural au Centre Local de Développement
à la MRC Maria-Chapdelaine. M. Darackian est sans aucun doute très enthousiaste
face au projet dont il est un des principaux collaborateurs.
On peut donc compter sur des menus originaux à prix modiques dans différents
restaurants de la région de Dolbeau-Mistassini. La Table du Monastère, le Notre
Café Bistro, le Restaurant bar Le Petit Cousin, le Resto 3F et le Resto-bar
Place Centre-Ville, tous de Dolbeau-Mistassini, ainsi que le Restaurant le
Kastelet de Girardville, se sont joints au projet en présentant et en offrant à
la population des repas gastronomiques en table d’hôte avec quatre services
entre 25 et 35 dollars. «On veut développer un circuit gastronomique par le
goût et non par le coût!» explique M. Darackian.
La dernière journée allouée à l’Escapade Gastronomique aura lieu le samedi 21
février dans les restaurants participants. Il faut par contre réserver et avec
ces appétissants menus, il sera assez
difficile d’y résister.
En plus de des bienfaits
déjà connus des canneberges, des études se poursuivent pour utiliser les petits
fruits déclassés dans l’alimentation porcine. Une étude réalisée par Agrinova
expliquée dans l’article suivant :