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jeudi 20 décembre 2012

Sapin du bon sens…la solution écolo

Une tradition verte à perpétuer
  
Le Réveil
Par Elizabeth Dupont
Vendredi 14 décembre 2012

Depuis 21 ans, les Saguenéens et les Jeannois ont adopté une belle tradition, alors qu’ils sont des milliers à participer à l’opération Sapin du bon sens. Dans l’objectif de poursuivre cette bonne habitude, permettant de donner une deuxième vie à votre sapin de Noël naturel, l’association forestière du Saguenay-Lac-Saint-Jean envie la population à participer encore une fois, le 12 janvier prochain.

La formule et les points de collecte un peu partout au Saguenay et au Lac-Saint-Jean, demeureront les mêmes, afin de toujours travailler à ancrer cette tradition dans les mœurs de la population.

«C’est une façon de faire qui fonctionne très bien, c’est pourquoi on désire la garder», estime Diane Gagnon, directrice de l’association forestière régionale.

Jusqu’à présent, se sont 156317 sapins qui ont été transformés en paillis ou en composte, pour l’ensemble de la région.

«Notre façon de faire est unique. Habituellement, dans les autres régions, ce sont des initiatives locales. Nous sommes les seuls à avoir un seul et même programme étendu à l’ensemble des municipalités de la région» ajoute Mme Gagnon.

Une solution verte

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, le sapin naturel est beaucoup plus écologique que le sapin artificiel.

«Il faut du plastique et du pétrole pour fabriquer les faux arbres en Chine. Cela est sans compter le transport jusqu’au Canada. Pour obtenir un effet zéro pour l’environnement, il faudrait conserver votre sapin artificiel 20 ans, alors qu’en moyenne, on ne les conserve que six ans», explique Mme Gagnon.

Elle mentionne qu’un sapin naturel encourage des producteurs du Québec, en plus d’avoir un meilleur impact sur l’environnement.

Pour connaître les points de collecte et les heures d’opération, visitez le site internet de votre municipalité ou le www.afsaglac.com .

Source  http://www.hebdosregionaux.ca/saguenay-lac-st-jean/2012/12/14/une-tradition-verte-a-perpetuer                                                     
2019 / 27'édition


Cueillette:  Le 12 et le 13 janvier 2019 partout au Saguenay-Lac-Saint-Jean


Dates et points de collecte 2019, cliquez  ICI




2020 / 28'édition

Date de la collecte régionale: 11 janvier 2020





             Également sur le blogue des Bleuets :

Sapin du bon sens - développement durable







MISE A JOUR:   décembre 2019.





mardi 2 octobre 2012

Le recyclage au Lac Saint-Jean.... de plus en plus de bonnes habitudes


L’Escouade Bleue:
80 % des citoyens respectent la plupart 
des bonnes pratiques



La Régie des matières résiduelles du Lac-Saint-Jean (RMR) dresse un bilan très positif de la première expérience et des résultats recueillis dans le cadre de la l’édition 2012 de l’Escouade Bleue. Ce bilan démontre clairement que quelque 80 % des citoyens du Lac-Saint-Jean respectent la plupart des bonnes pratiques en matière de recyclage. Il reste cependant encore 20 % de gens à sensibiliser et l’on réfléchit déjà sur la forme que pourrait prendre l’Escouade Bleue 2,0, en 2013.
Au cours http://www.facebook.com/LaPageDesBleuetsDuLacSaintJean/de la dernière période estivale, entre le 26 juin et le 17 août, les 17 agents de l’Escouade Bleue ont examiné près de 8400 bacs et visité 651 ICI (Industries, Commerces et Institutions) dans les 36 municipalités du Lac-Saint-Jean et de la communauté Montagnaise de Mashtheuiatsh.
En plus des bacs à recyclage résidentiels, les équipes se sont présentées dans divers endroits publics tels que les stationnements d’épicerie, les centres commerciaux et les festivals pour faire de la promotion sur les bonnes pratiques et échanger avec les citoyens.
Au chapitre de la sensibilisation, près de 2500 dépliants ont été distribués et au-delà de 8000 autocollants rappelant les bonnes pratiques ont été apposés dans le couvercle des bacs visités.
Escouade Bleue version 2.0
Alors que les citoyens analysent le bilan de cette première année, la direction de la RMR est actuellement en réflexion tant qu’à l’avenir de l’Escouade Bleue. Très satisfaite de cette première édition, la version 2.0 sera certainement différente de cette année quoi que toujours en lien avec les bonnes pratiques.
« La sensibilisation est primordiale et le travail de l’Escouade cet été nous l’a confirmé. Nous croyons que poursuivre ce projet est essentiel, reste à savoir maintenant quelle forme nous lui donnerons dans l’avenir », commente précise à ce sujet Lucien Boily, président de la RMR.
Des résultats probants
Dans le cadre des activités d’inspection, plusieurs critères étaient à l’étude. Les agents devaient noter leurs observations concernant la quantité de matière, la qualité du recyclage, ainsi que la présence des matières indésirables.
De façon générale, 80 % des bacs visités respectaient la plupart des bonnes pratiques comparativement à 19 % où la présence de matières indésirables était en grande quantité. De ce 80 %, quelque 33 % des bacs contenaient peu d’erreurs et le recyclage y était presque parfait tandis que 48 % des bacs contenaient les erreurs les plus fréquentes. De plus, on constate que 27 % des bacs sont utilisés à pleine capacité mais que seulement 6 % débordent.
« Ces résultats ne sont pas une surprise puisqu’ils sont très représentatifs de la réalité vécue au Centre de tri. Nous avons un taux de rejet à l’heure actuelle qui se situe aux alentours de 20 %. L’Escouade Bleue nous aura donc permis d’intervenir directement auprès des citoyens et avoir ainsi une approche personnalisée », souligne Lucien Boily, président de la Régie des matières résiduelles du Lac-Saint-Jean.
Guy Ouellet, directeur général de la RMR, ajoute pour sa part « qu’avec l’Escouade Bleue, progressivement nous pourrons nous attendre à une meilleure compréhension des bonnes pratiques et ainsi diminuer le taux de rejet. Nous savons que personne n’est de mauvaise foi. Les résultats nous permettront de viser les pratiques incomprises et par conséquent de faire des rappels grâce à différentes stratégies de communication. »
La styromousse, l’erreur la plus fréquente!              
Dans les erreurs les plus fréquentes, on retrouve la styromousse et le plastique # 6. Ces matières étaient présentes dans une proportion de 43 %, soit dans près d’un bac sur deux. Souvent dissimulée sous des apparences de plastique, la styromousse est la matière qui confond le plus souvent les consommateurs. Le meilleur exemple est très certainement l’emballage de styromousse bleue utilisé pour la vente des champignons. Pris à tort pour du plastique, on en retrouve en grande quantité dans les bacs. La styromousse porte le # 6.
Les agents ont également dénombré que 39 % des bacs contenaient du recyclage dans un sac et que beaucoup de gens oubliaient de séparer les circulaires de leur emballage. Ces pratiques se retrouvent au chapitre des erreurs puisqu’au Centre de tri, le triage se fait manuellement et les sacs ne sont pas ouverts. Bien que d’ordinaire ces sacs contiennent seulement du recyclage, le risque de contamination est grand. Il est préférable de mettre son recyclage directement dans le bac ou à la rigueur d’utiliser des sacs transparents.
On constate que sur l’ensemble des matières ne devant pas se retrouver dans les bacs, près de 60 % de celles-ci devraient plutôt se retrouver à l’écocentre. Dans ces matières on dénombre les bonbonnes de propane, les canettes aérosols, la vaisselle, les appareils et fils électriques, le plastique rigide, le bois, les résidus verts et les vêtements.
« La sensibilisation est primordiale et le travail de l’Escouade cet été nous l’a confirmé. Nous croyons que poursuivre ce projet est essentiel, reste à savoir maintenant quelle forme nous lui donnerons dans l’avenir » - — Lucien Boily, président de la Régie des matières résiduelles du Lac-Saint-Jean
Ces matières sont toutes recyclables mais doivent être apportées aux installations appropriées. On a souligné la présence en grande quantité des sacs de chips et des sacs de nourriture pour animaux. Contrairement à la croyance populaire, ce ne sont pas des matières recyclables (emballage laminé pour lequel il n'existe pas encore de filière de recyclage séparant l'aluminium du plastique).
Ce travail sur le terrain de la part des agents de l’Escouade Bleue a été supporté par une vaste campagne de communication tout au long de l’été. Que ce soit par le biais de la radio, des journaux, de la télévision ou du web, les efforts de sensibilisation étaient renforcés par des messages sur les bonnes pratiques. Cette présence constante était essentielle et a permis à l’Escouade Bleue de jouir d’une grande notoriété et de favoriser le dialogue avec les citoyens.
D’ailleurs, l’expérience vécue par les 17 jeunes aura été très enrichissante pour eux. Ayant été formés pour répondre aux citoyens, la plupart d’entre eux ont beaucoup apprécié l’opportunité que la RMR leur a offert en joignant les rangs de l’Escouade Bleue.
« Nous avons apporté des réponses aux citoyens et nous avons eu un impact positif sur leurs habitudes. Nous avons beaucoup marché, supporté les conditions météorologiques bipolaires du Québec, testé la diverse palette de parfums des bacs bleus, mais somme toute, nous en ressortons en vie, en forme et fiers de notre été », soulignent quelques agents de l’Escouade Bleue.
La RMR tient également à souligner la collaboration avec la Société de gestion environnementale (SGE), organisme environnemental bien implanté à Dolbeau-Mistassini. En effet, l’implication de la SGE tant au niveau de la coordination de l’équipe de la MRC de Maria-Chapdelaine, que dans l’organisation de la présence de l’Escouade à la Traversée Internationale du Lac-Saint-Jean à Roberval et dans le développement des outils de travail aura permis à la RMR de mener à bien le projet.




Pour tous les détails de ces événements et pour d'autres nouvelles, visitez régulièrement le www.lelacstjean.com  ou inscrivez-vous à notre envoi quotidien.

Source:publication  20 septembre 2012/ Le lac Saint-Jean http://www.lelacstjean.com/ 


http://www.facebook.com/LaPageDesBleuetsDuLacSaintJean

vendredi 21 septembre 2012

Un camp forestier a effectué un virage vert par l’énergie solaire (2012)


Publié le 19 septembre 2012 à 08h25  

Virage vert par l'énergie solaire

Richard Carbonneau, président de RCTF / Photo Marc St-Hilaire
Marc St-Hilaire
Le Quotidien
(ALMA) Qui aurait imaginé, il y a à peine quelques années, un camp forestier presque exclusivement alimenté à l'énergie solaire? C'est pourtant ce qu'a réalisé l'entreprise RCTF dans le secteur du lac Huard.
Le camp de RCTF est situé à la frontière de la Réserve faunique des Laurentides, à environ 90 kilomètres des limites d'Alma. Celui-ci peut accueillir jusqu'à 38 travailleurs, lesquels y sont hébergés et nourris.
Jusqu'ici, les génératrices de l'établissement nécessitaient l'équivalent de 65 000 à 70 000 dollars de carburant sur une base annuelle. En tenant compte de l'entretien de ces imposants équipements, ce sont près de 100 000 dollars qui étaient alloués à l'approvisionnement énergétique du camp.
Il y a deux ans, le président de RCTF, Richard Carbonneau, a songé à remplacer le pétrole par le solaire, une démarche qui cadrait parfaitement avec la certification ISO 14 001. Entre autres cibles, celle-ci recommande de minimiser les émissions de CO2.
Après de longues recherches, il a enfin déniché le système idéal auprès de l'entreprise Volts Énergies de Laval.
Il y a près de deux mois, les panneaux solaires ont ainsi été installés, se dressant telle une gigantesque muraille à l'entrée du campement. Selon les perspectives, ces derniers seront en mesure de desservir l'équivalent de 60 à 80 % des besoins.
En tout, RCTF a déboursé 180 000 dollars pour compléter cette conversion. Un investissement assumé en totalité par l'entreprise qui devrait être absorbé à l'intérieur des quatre prochaines années, estime Richard Carbonneau. Rien que ce mois-ci, la consommation de diesel au campement est passée de 4000 litres à 1700 litres, une réduction de 67 %.
L'installation photovoltaïque peut déployer une puissance maximale de 24 kilowattheures avant de recourir aux génératrices. Aussi a-t-on dû modifier le système de chauffage électrique, lequel est aujourd'hui alimenté au propane.
«Nous utilisons les génératrices de 16 h à 19 h, lorsqu'il y a davantage de besoins énergétiques. Autrement, c'est presque uniquement le solaire qui fonctionne. Nous sommes très satisfaits. Plus le prix de l'essence grimpe et plus notre investissement prend de la valeur», exprime Richard Carbonneau.
Influence sur les travailleurs
Grâce à ces changements, RCTF améliore considérablement son empreinte environnementale. Auparavant, les génératrices fonctionnaient 24 heures sur 24, sept jours par semaine. Depuis la mise en place du système photovoltaïque, on a réduit les émissions de CO2 de 15 tonnes. En hiver, cette même diminution sera de plus ou moins 30 tonnes par mois, comparativement aux années antérieures.
Inspirés par cette volonté d'implanter de nouvelles normes écologiques, les employés ont eux aussi modifié leur approche.
Chaque contenant d'huile, chaque tuyau usé, chaque guenille souillée sont entreposés dans des bacs distincts, installés dans un abri destiné à cette fin. Dans la cuisine, où s'affairent les cuisinières Sylvie Pelletier et Lynda Waltzing, on ne retrouve aucune assiette ou aucun verre non recyclable.
Les anciens globes de 60 watts ont été remplacés par des ampoules écoénergétiques.
«Gaspiller le courant, ça n'existe plus au campement, indique Richard Carbonneau. Il y a eu un changement de culture lorsque nous avons obtenu la certification ISO 14 001. En matière de recyclage, nous avons complètement renversé la situation. Avant, on vidait un bac de poubelles par semaine. Maintenant, nous avons du mal à remplir un bac de déchets par période de deux semaines. Nous recyclons tout ce que nous pouvons recycler», confie Richard Carbonneau.
Source : http://www.lapresse.ca/le-quotidien/actualites/201209/19/01-4575416-virage-vert-par-lenergie-solaire.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_en-manchette_322_section_POS4





lundi 17 septembre 2012

Deux projets miniers à surveiller….


Le projet du Lac à Paul sur la bonne voie
Apatite - projet Lac Paul

Le 12 septembre 2012 - 07:46 | ldarackian@rncmedia

L'autre projet, celui de phosphore de Ressources d'Arianne, a été présenté par le chef de la direction de l'entreprise, Bernard Lapointe.

Le minerai extrait du projet du Lac-à-Paul dans le secteur Chute-des-Passes sert à 85 % pour le marché des fertilisants.

Il s'ait d'une mine à ciel ouvert d'une durée de vie minimum de 25 ans qui va extraire 3 millions de tonnes de minerai par année. Le projet commande des investissements de 813 M $ et créera au moins 200 emplois directs.

Le sujet vital pour la compagnie est le transport du minerai. Le point d'arrivée est le port de Grande-Anse pour l'exportation par la voie maritime. Dépendamment du type de transport choisi, trois endroits de sorties sont envisagés pour rallier le port de Grande-Anse : Alma, Dolbeau-Mistassini ou L'Ascension..

La mise en opération de la mine est prévue pour 2015.
Source:
http://www.dolbeau-mistassini.planeteradio.ca/articles/20120912074604/projet_lac_paul_sur_bonne_voie.html 
Pour plus d’informations sur le Projet du Lac Paul, cliquez  ICI .   






Projet Crevier au nord de Girardville

 
minerai de tantale  
Le 12 septembre 2012 - 07:47 | ldarackian@rncmedia.ca
Une salle à pleine capacité de 84 personnes a assisté hier soir aux exposés sur les deux projets de mine dans le secteur dans le cadre d'un souper-conférence de la Chambre de commerce et d'industrie de Dolbeau-Mistassini.

D'abord, le président et chef de la direction de la société minière MDN, Serge Bureau, a dressé le portrait du projet Crevier situé à 50 kilomètres au nord de Girardville. Le but est d'exploiter une mine de niobium et de tantale à compter de 2016.

400 emplois seront créés au moment de la construction de l'usine de flottation et de l'usine de raffinage. 150 employés permanents verront à l'opération de la mine qui a une durée de vie prévue d'une vingtaine d'années.

Des investissements de 330 M $ seront nécessaires pour extraire les 25 millions de tonnes de minerai, à raison de 4 000 tonnes par jour. Les retombées économiques pour le Saguenay–Lac-Saint-Jean sont évaluées 800 M $.
Source:  http://www.dolbeaumistassini.planeteradio.ca/articles/20120912074734/projet_crevier_nord_girardville.html 
Pour plus d’informations,
Sommaire du projet Crevier :      http://www.mdn-mines.com/fr/activites/quebec/crevier/      
                      Publication en lien avec :

 





mardi 11 septembre 2012

Développement durable / Des urinoirs plus écolos à la polyvalente de Normandin (2012)

Publié le 5 septembre 2012


Des urinoirs qui font jaser!   

Le projet de conversion des urinoirs...




LBR.ca - Normandin, 31 août 2012 


Le projet de conversion des urinoirs mis de l’avant à la Polyvalente de Normandin par Alan Asselin, Jean-François Fortin, Samuel Fortin et Jean-Christophe Bouchard-Frigon s’est concrétisé. Grâce à l’installation d’un système d’urinoirs avec turbines et oeil magique, une économie de plus d’un million de litres d’eau potable par année sera réalisée.
C’est réunis dans l’unité sanitaire réservée aux garçons de l’école secondaire, que l’on a procédé à l’inauguration des nouveaux urinoirs. Partenaires, initiateurs et représentants du monde scolaire étaient réunis pour l’occasion. Les mots de félicitations sont venus de toute part.
Rappelons que l’an dernier, quatre élèves de cinquième secondaire de la Polyvalente de Normandin, Alan Asselin, Jean-François Fortin, Samuel Fortin et Jean-Christophe Bouchard-Frigon s’étaient lancé un défi de taille : celui de convertir écologiquement les urinoirs de leur école. Une transformation permettant l’économie de plus d’un million de litres d’eau par année. Constatant que les urinoirs de l’école semblaient fonctionner à toute heure du jour et de la nuit, Jean-Christophe Bouchard-Frigon, Samuel Fortin, Jean-François Fortin et Alan Asselin ont analysé la quantité d’eau utilisée pour le fonctionnement de ces urinoirs.
« En mesurant le niveau des réservoirs et en évaluant le mode de fonctionnement des urinoirs et la fréquence des lavages, nous avons constaté que plus de 1 314 000 litres d’eau étaient gaspillés chaque année pour le seul fonctionnement des douze urinoirs. Les urinoirs coulent de façon régulière gaspillant 150 litres d’eau à l’heure. Ça a été tout un choc de réaliser ça! », de raconter Alan Asselin. Les jeunes hommes ont donc voulu trouver une solution pour cesser le gaspillage d’eau de ces urinoirs qui ne servent que le matin, aux récréations et sur l’heure du midi, alors que le système, quant à lui, fonctionne 24 heures sur 24, hiver comme été.
Après quelques recherches, les élèves ont découvert l’existence d’un système d’urinoirs avec turbines et oeil magique, dont les lavages s’effectuent après chaque utilisation plutôt qu’en continu. L’installation d’un tel système résulterait en une économie de près de 85 %, soit plus d’un million de litres d’eau par année. Le projet était donc lancé. Pour réaliser leur projet, une somme de 15 000 $ devait être amassée.
Désirant d’abord poser un geste concret pour l’environnement, ces quatre jeunes ont sensibilisé toute une communauté sur l’importance d’économiser l’eau potable. Ainsi, l’entreprise EMCO, le Marché Métro Plus Dany Boutin via le fonds Métro Éco École, député sortant Denis Trottier et la Ville de Normandin sont du nombre des partenaires. Des bourses de la CSST ainsi que du Concours québécois en entrepreneuriat, dont les jeunes ont été nommés lauréats au plan local ainsi que des subventions ministérielles ont complété le montage financier.
Le projet réalisé dans la cadre du cours Projet personnel et leadership ne s’est pas arrêté qu’au remplacement des urinoirs. C’est toute la salle de toilettes qui a été revampée et on analyse la possibilité d’annexer un volet II au projet. Les finalistes hebdomadaires de Forces AVENIR et lauréats AVENIR de l’année dans la catégorie AVENIR Projet engagé étaient loin de se douter que leur projet de transformation des urinoirs de leur polyvalente allait prendre une telle ampleuré.
Source : Marie-Claude Parent Conseillère en communication Commission scolaire du Pays-des-Bleuets Tél. : 418 276-2012, poste #4010

 



vendredi 31 août 2012

Le Collège d’Alma obtient la certification Cégep Vert - 2012


Développement durable, Éducation et formation


Le Collège d’Alma poursuit son virage vert



Le Collège d’Alma vient d’obtenir son niveau 3 de la certification Cégep Vert...

LBR.ca - Alma, le 28 août 2012 – Le Collège d’Alma vient d’obtenir son niveau 3 de la certification Cégep Vert, une certification qui récompense ses efforts afin de réduire son empreinte écologique et assurer un leadership en éducation à l’environnement. Comme nouveautés pour l’année scolaire 2012-2013, l’institution collégiale offre aux élèves un profil en développement durable et encourage le transport alternatif à l’automobile.

Le Comité d’action et de concertation en environnement du Collège d’Alma (CACECA) a mis sur pied un profil en développement durable qui s’adresse à l’ensemble des élèves. Ceux-ci seront encouragés à assister à des conférences, à s’inscrire à des cours complémentaires en développement durable et à participer à des actions citoyennes à caractère environnemental afin d’obtenir le plus haut niveau de cette nouvelle certification. Le Collège décernera une recommandation en développement durable aux élèves participants à la fin de leur parcours scolaire. « Nous pensons que les élèves pourront faire valoir cette recommandation à leurs futurs employeurs. Peu importe le secteur d’activité d’une entreprise, un employé avec des connaissances en développement durable est toujours un atout pour un employeur », affirme la directrice des études, Johanne Décoste.
Dans un autre ordre d’idées, avec le soutien financier du ministère du Transport du Québec (MTQ) et en collaboration avec le Centre alternatif de déplacement urbain du Saguenay (CADUS), le CACECA a entrepris en janvier 2012 une vaste étude afin de connaître les habitudes de déplacement de ses élèves et des membres de son personnel. Les taux de participation au sondage ont été les plus élevés dans la région pour ce genre d’étude : 65 % du personnel et 58 % des élèves ont répondu aux questions, ce qui rend le sondage très significatif. Pour l’année 2012-2013, à la lumière des résultats de cette étude, le CACECA a choisi d’encourager la pratique du covoiturage, d’aménager des voies piétonnières sur son terrain et d’ajouter des supports à vélo. À long terme, le Collège est prêt à collaborer activement aux démarches de Ville d’Alma en ce qui a trait au projet de Taxibus, qui est présentement à l’étude.
Dominique Pelletier, conseillère en communication
         Pavillon de musique du CEGEP d'Alma
                        

                                                                                                       Centre de recherche en agriculture AGRINOVA




   
  
Pavillon principal du CEGEP d'Alma 


        



  Le Collège d'Alma selon Wikipedia

Le Collège d'Alma est un collège d'enseignement général et professionnel (cégep) situé dans la ville d'Alma dans la province de Québec. Fondé des suites de la Commission Parent en 1972, il compte environ 1 300 étudiants à temps plein et à temps partiel répartis dans plusieurs programmes.
Le Collège d'Alma est le seul cégep du Saguenay–Lac-Saint-Jean à offrir les programmes de musique et de techniques policières. Depuis 1996, il possède un centre collégial de transfert de technologie, AGRINOVA, qui offre des services de recherche et développement, de soutien technique ainsi que de la formation aux entreprises dans le domaine de l'agriculture et de l'agroalimentaire.
Histoire
En 1970, l'externat classique d'Alma prend le nom de Collège du Lac-Saint-Jean. En 1972, il change de nom pour Collège d'Alma. Il fait alors partie du Collège régional du Saguenay-Lac-Saint-Jean avant de devenir pleinement autonome en 1980.
Source :   http://fr.wikipedia.org/wiki/Coll%C3%A8ge_d'Alma 





  

Site officiel du Collège d’Alma :       http://www.calma.qc.ca/ 

Site internet AGRINOVA :     http://www.agrinova.qc.ca/index.php?id=1