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lundi 17 août 2015

Congélation des gourganes / Valeur nutritive / Soupe aux gourganes du LSJ



Congélation des gourganes / 2 méthodes :


      1) On les écosse, on les place dans un sac à congélation et on congèle comme ça sans blanchir. (Pour l’utilisation dans une soupe, ne pas décongeler et placer les gourganes congelées directement dans le bouillon chaud et même marche à suivre qu’une soupe avec légumes frais)   - Personnellement, j’utilise cette méthode.


      2) Blanchir les gourganes dans l’eau bouillante pendant 3 minutes.  Ensuite, les plonger dans l’eau glacée pour arrêter la cuisson. Égoutter et  peler chaque gourgane (enlever l’enveloppe blanche).  Placer sur une tôle au congélateur quelques heures et ensuite placer les gourganes congelées dans un  sac à congélation et déposer de nouveau au congélateur.



MISE À JOUR 2020

Maintenant des gourganes à l'année sur le marché...
grâce à la "Congèlerie Héritier"située à  Normandin, un centre de transformation et de congélation de fruits et légumes nordiques au Saguenay–Lac-Saint-Jean.
  
En 2019, à sa première année d'opération, la Congèlerie Héritier a congelé 80 000 livres de gourganes récoltées au Saguenay/Lac St-Jean et souhaite en transformer 500 000 livres cette année.


Valeur nutritive de la gourgane :

La fève des marais, mieux connue sous le nom de gourgane, est une légumineuse qui jouit d’une grande popularité dans certaines régions du Québec comme le Saguenay-Lac-Saint-Jean. On dit qu’elle est l’une des cultures les plus anciennes du monde. Sa richesse en protéines, en glucides (principalement en amidon) et en fibres ainsi que sa faible teneur en matières grasses en font un aliment particulièrement intéressant pour la santé.

Principes actifs et propriétés
Certaines études ont associé une consommation régulière de légumineuses à divers effets bénéfiques pour la santé tels qu’un meilleur contrôle du diabète, une diminution du risque de maladies cardiovasculaires et une diminution du risque de cancer colorectal. Ces bienfaits seraient en partie attribuables à divers composés présents dans les légumineuses tels que les fibres alimentaires. Les recommandations alimentaires américaines suggèrent d’ailleurs de consommer des légumineuses au moins quelques fois par semaine. Enfin, parmi les grandes recommandations de l’American Institute for Cancer Research pour la prévention du cancer, on conseille à la population de favoriser une alimentation composée majoritairement d’aliments végétaux en y incluant une variété de légumes et de fruits, de légumineuses et de produits céréaliers peu transformés.

Fibres alimentaires. Les légumineuses sont toutes de bonnes sources de fibres. Les fibres alimentaires, qui se trouvent seulement dans les produits végétaux, sont des substances qui ne sont pas digérées par l’organisme. De 11 % à 15 % des fibres contenues dans la fève des marais sont sous forme soluble, le reste des fibres étant insolubles. Rappelons qu’une alimentation riche en fibres solubles peut contribuer à normaliser les taux sanguins de cholestérol, de glucose et d'insuline, tandis qu’une alimentation riche en fibres insolubles aide à maintenir une fonction intestinale adéquate. À noter qu’il est recommandé de consommer 25 g de fibres par jour pour les femmes de 19 ans à 50 ans, et 38 g par jour pour les hommes du même groupe d’âge.
Protéines et effet antioxydant. La fève des marais contient une protéine particulière qui aurait des propriétés antioxydantes. Pour en arriver à cette conclusion, des chercheurs ont isolé une protéine hydrosoluble (soluble dans l’eau) provenant de la fève des marais et l’ont mise en contact avec des cellules en culture. Dans ce modèle in vitro, la protéine a entre autres induit une augmentation de l’activité d’un enzyme qui permet de diminuer les effets négatifs de l’oxydation sur les cellules, phénomène lié au processus de vieillissement. On sait que la cuisson de la fève peut affecter la qualité de la protéine, mais cet effet n’a malheureusement pas été évalué. Ces résultats préliminaires, bien que fort intéressants, ne permettent pas d’affirmer que la protéine de la fève des marais a un potentiel antioxydant chez l’humain. Davantage d’études sont nécessaires pour confirmer les données obtenues in vitro.
Protéines et effet sur les lipides sanguins. Tout comme le haricot de soya, la fève des marais pourrait améliorer le profil lipidique sanguin. C’est du moins ce que semblent démontrer les résultats de quelques études publiées sur le sujet. Jusqu’à présent, l’effet hypocholestérolémiant a davantage été documenté chez l’animal. Chez le rat, une étude a démontré que l’ajout de fève des marais à une diète favorisant l’élévation du cholestérol (diète riche en gras saturés) diminuait le cholestérol sanguin après seulement deux semaines de régime. D’autres auteurs ont également rapporté une diminution des taux de cholestérol chez des rats consommant une diète hypercholestérolémiante (favorisant l’élévation du cholestérol) contenant soit des fèves des marais, soit la protéine isolée de ces fèves. Les taux de cholestérol-HDL (« bon » cholestérol) sont demeurés inchangés, mais l’ajout de fève des marais à la diète a entraîné une diminution des taux de triglycérides sanguins, ce que n’a pas fait la protéine seule.
Les effets hypocholestérolémiants de la fève des marais pourraient s’expliquer en partie par le profil en acides aminés de sa protéine. Cette hypothèse a été avancée pour d’autres types de légumineuses. Des composés, tels que les fibres présentes dans la fève entière, pourraient aussi jouer un rôle dans la diminution du cholestérol. La fève des marais contient des fibres alimentaires tandis que l’isolat de protéines provenant de cette fève en est dépourvu. La fève entière a eu un effet plus marqué sur la diminution du cholestérol sanguin que la protéine seule.
Encore une fois, des études cliniques contrôlées devront être réalisées chez l’humain avant de pouvoir affirmer que la fève des marais permet de diminuer le cholestérol sanguin. Cependant, puisqu’il y a plusieurs avantages à recommander la consommation de légumineuses, dont une diminution du risque cardiovasculaire, la fève des marais a donc une place de choix dans le régime alimentaire des personnes ayant un taux élevé de cholestérol.
Maladie de Parkinson. Plusieurs personnes atteintes de la maladie de Parkinson et ayant des problèmes moteurs ont rapporté une amélioration de leurs symptômes après avoir mangé des fèves des marais. La fève des marais contient de la lévodopa(L–DOPA), une substance utilisée comme médicament dan s le traitement symptomatique de la maladie de Parkinson. Dans une étude, la consommation de 250 g de fève des marais cuites données sous forme de repas test à des sujets atteints de la maladie de Parkinson a apporté les mêmes bénéfices en ce qui concerne l’amélioration des performances motrices que la L–DOPA donnée en combinaison avec un autre médicament, le carbidopa. La consommation de fève des marais prolongerait la période « on » de la maladie et diminuerait la période « off ». La période « on » est le moment où le médicament agit sur la personne, tandis que la période « off » se traduit par le moment où le médicament n’est plus efficace. La fève des marais pourrait être une source complémentaire de lévodopa chez des patients atteints de la maladie de Parkinson, particulièrement chez ceux ayant des problèmes moteurs légers à modérés. Cependant, comme la concentration de lévodopa diffère d’une variété de fève à l’autre et en fonction du mode de préparation, la consommation de fève des marais ne peut remplacer le traitement médicamenteux traditionnel.





Crédit photo: Guillaume Roy

Sujet à l’étude

5 mai. 2015 par Guillaume Roy 
Effet de serre : la gourgane à la rescousse

Depuis quelques mois, les vaches laitières du Lac-Saint-Jean mangent des gourganes. Pour les producteurs laitiers, ce nouveau régime compte plusieurs avantages…
Depuis quelques mois, les vaches laitières du Lac-Saint-Jean mangent des gourganes. Pour les producteurs laitiers, ce nouveau régime compte plusieurs avantages : cultivée localement, la gourgane coûte moins cher que le soya, elle contient plus de protéines que le maïs, et les vaches qui en consomment donnent autant ou plus de lait.
Mais les vertus de la gourgane sont plus grandes encore. Selon des études que mène actuellement le centre de recherche Agrinova, à Alma, une alimentation à base de gourganes diminuerait la quantité de gaz à effet de serre émis par les vaches. Les tanins présents dans cette légumineuse réduiraient le méthane produit naturellement pendant la rumination.
En un an, une seule vache émet autant de gaz à effet de serre qu’une voiture qui parcourt 20 000 km.
Les résultats des études suscitent beaucoup d’intérêt chez les producteurs laitiers. Non seulement leurs vaches pourraient donner plus de lait, mais grâce à la diminution des gaz à effet de serre, ils pourront peut-être un jour vendre des crédits de carbone














Soupe aux gourganes

Crédit photo: La fille de l'anse aux coques 


Plusieurs Jeannois cuisinent la soupe aux gourganes selon une recette familiale, il peut y avoir des petites variantes,  moi j’ai  la même que « La fille de l’anse aux coques » et j’utilise la gourgane fraîche ou congelée.  La voici :


Recette soupe aux gourganes de la "Fille de l’anse aux coques" (http://lafilledelanseauxcoques.blogspot.com/2010/08/soupe-aux-gourganes.html)

Temps de préparation: 30 min
Portions: 6

Ingrédients
115 gr (1/4 lb) de lard salé entrelardé
1 oignon moyen haché
750 ml (3 tasses) de bouillon de poulet
750 (3 tasses) d’eau
2 carottes, tranchées en rondelles
1 branche de céleri tranchée
125 ml (1/2 tasse) d’orge perlé
375 ml (1 1/2 tasse) ou + de gourganes fraîches écossées
1 feuille de laurier
Herbes salées au goût
Sel et poivre

Préparation
1.
Dans une grande casserole, cuire le lard à feu moyen jusqu'à ce qu'il y ait environ 30 ml (2 c. à soupe) de gras fondu au fond de la casserole. Ajouter  l'oignon et faire dorer à feu vif. Saler et poivrer.
2.
Ajouter le bouillon, l'eau, les gourganes, les carottes, le céleri, l'orge, la feuille de laurier.  Porter à ébullition, couvrir partiellement et laisser mijoter  une heure ou plus,  jusqu'à ce que l'orge et les gourganes soient tendres.  Retirer le lard, enlever le gras et couper la viande en petits morceaux et les ajouter à la soupe.  Ajouter les herbes salées au goût.  Rectifier l'assaisonnement. Servir chaude.



Soupe aux gourganes du Lac-St-Jean

Provenance: MarlèneF. 
Lac-St-Jean, Québec
Environ 10 portions


Ingrédients
  • 2,5 litres [10 tasses] d'eau
  • 2,5 mL [1/2 c. à thé] de gros sel
  • 1 mL [1/4 de c. à thé] de sarriette
  • 2,5 mL [1/2 c. à thé] d'herbes salées à soupe
  • 60 mL [1/4 de tasse] d'orge
  • 1 oignon moyen, émincé
  • 113 à 227 g [1/4 à 1/2 livre] de lard salé gras, coupé en gros morceaux
  • 680 à 900 g [1 1/2 à 2 livres] de gourganes fraîches ou congélées
  • Poivre, au goût
Préparation :
  • Mettre tous les ingrédients dans une grande casserole et amener à ébullition.
  • Baisser le feu, couvrir et laisser mijoter jusqu'à ce que les gourganes soient tendres, environ 2 à 3 heures.




Salade de gourganes aux fines 
herbes et à la pancetta; 
la recette publiée en cliquant  ICI.











Également publié sur le BLOGUE des Bleuets : 


MISE À JOUR:  12 février 2020.    

lundi 3 novembre 2014

Avez-vous déjà souligné la Sainte Catherine? / Recette tire (bonbons)


Saviez vous que sainte Catherine est la patronne des filles à marier, celles-là même qu’on appelait les "vieilles filles"?

Au Québec, le 25 novembre a longtemps représenté une journée de fête où on qualifiait les filles non mariées de Catherinettes.  

Celles qui atteignaient leur 25e année étaient officiellement considérées comme des "vieilles filles".  À certains endroits la coutume voulait que celles-ci devaient porter un bonnet pendant cette journée, ce qu’on appelait ‘coiffer la Ste Catherine’.  Cette tradition n'avait rien de réjouissant pour certaines, touchées par les moqueries et parfois même considérées avec un certain mépris et marginalisées.

Certainement une tradition plus agréable pour les écoliers que pour les ‘vieilles filles’.
La tradition de fêter la Sainte-Catherine à l'école remonterait-elle jusqu'à la première fête donnée par Marguerite Bourgeois ? Chose certaine, pendant plusieurs années,  la fête de la Sainte Catherine  se soulignait dans les écoles par une journée de festivités où on assistait aux pièces de théâtre montées par les élèves qui jouaient souvent le martyre de sainte Catherine. Ensuite prenaient place les jeux organisés et les chansons…
Au Québec, la fête prenait plus ou moins d'importance selon les écoles. Des témoignages laissent croire qu'ils y voyaient une belle source de motivation pour maintenir la discipline jusqu'à cette journée tant attendue où l'école appartenait aux écoliers. En tous cas, des permissions exceptionnelles étaient accordées en cette journée festive:  des activités spéciales, congé de devoir mais d'abord et avant tout manger de la tire à satiété.
Personnellement, je me souviens d’avoir fêté cet évènement à l’école primaire dans les années cinquante et soixante.   Je me souviens aussi de petites moqueries sans méchanceté envers les ‘vieilles filles’.  Je  me souviens d’en avoir vu aucune coiffer le bonnet de Catherinette. Je me souviens très bien qu’à la maison, ma mère cuisinait de la ‘tire à la mélasse’ qu’on  devait par la suite étirer pour ensuite couper les longs cordons dorés et sucrés en petites bouchées  qu’on enroulait dans des papillotes faites de carrés de papier ciré.  C’était une activité familiale agréable dont je conserve  que de bons souvenirs.

Voici un peu d’histoire :
Il y a très longtemps, il y aurait eu une femme du nom de Catherine qui aurait été exécutée vers l'an 307 pour avoir refusé de se marier à un empereur romain Maxence.  Au X11e siècle, on exposait sa statue dans les églises de Paris et le 25 novembre de chaque année, on déposait une coiffe sur sa tête.  C'était la plus âgée des jeunes filles qui le faisait.  Par la suite, les ouvrières non mariées se coiffaient de bonnets de papier. 
Au début de la colonie au Québec, Marguerite Bourgeois a commencé à fabriquer de la tire le 25 novembre pour attirer les Amérindiennes à l'école.  À l'époque de nos ancêtres, la Sainte-Catherine était le jour où on fêtait les vieilles filles ce qui voulait dire les filles de plus de 25 ans non mariées et on les appelait " Catherinettes".
Dans les écoles, la Sainte-Catherine était une des plus grande fête de l'année. On fabriquait de la tire avec de la mélasse.  Il fallait L'étirer, la couper en bouchées et l'envelopper dans des papillotes.  On fêtait avec des sketches, des jeux, des chants, des danses durant tout l'après-midi et parfois toute la journée.

La tire de la Sainte Catherine; le bonbon

Fabriquée à la maison ou de facture commerciale, la friandise en forme de papillote est désignée par plusieurs appellations populaires. «Tire» est le mot le plus connu pour désigner la confiserie que l'on «étire», indispensable pour fêter la Sainte-Catherine, et ce terme n'existe nulle part ailleurs que dans le parler français en Amérique.
Bien que le mot n'ait jamais perdu sa popularité, dans certaines régions du Québec on emploie aussi les mots «kiss».
Tire «Sainte-Catherine» de la Congrégation de Notre-Dame
À l’occasion de la fête de la Sainte-Catherine, on faisait autrefois de la tire. C’est à Marguerite Bourgeoys, fondatrice de la Congrégation de Notre-Dame de Montréal  et première enseignante en Nouvelle-France que l’on doit l’invention de ce bonbon traditionnel.
Voici la recette :
Ingrédients                          
250 ml (1 t.) de sucre blanc
250 ml (1 t.) cassonade
250 ml (1 t.) de mélasse
125 ml (½ t.) de sirop de maïs
125 ml (½ t.) d’eau
1 c. à soupe de vinaigre
1 c. à thé de bicarbonate de soude
1 c. à soupe de beurre
Préparation
Mettre dans une casserole à fond épais et à parois beurrées le sucre, la cassonade, le sirop de maïs, l’eau et le vinaigre.
Faire cuire  jusqu’à 125 oC (boule dure dans l’eau froide).
Retirer du feu.
Ajouter le bicarbonate de soude bien tamisé, le beurre et travailler  le mélange.
Verser dans une lèchefrite beurrée.
Dès que la tire est assez refroidie pour être maniée, l’étirer vivement jusqu’à ce qu’elle perde son lustre. (Pour l’empêcher de coller aux doigts, on peut s’enduire les mains d’une légère couche de beurre).
Couper en petits bouts avec des ciseaux et envelopper dans du papier ciré.

Recette tirée du livre La Cuisine raisonnée, Nouvelle édition abrégée, Éditions Fides, 2003
► ► Tableau de conversion pour les recettes: 




Cette image provient de Mon troisième livre de lecture, textes de Marguerite Forest et Madeleine Ouimet, illustrations de Jean-Charles Faucher, Montréal, Librairie Granger Frères Ltée, 1956. Il s’agit d’un ouvrage approuvé par le Conseil de l’Instruction publique de Québec, à sa séance du 12 mai 1943. Marie-Claire Daveluy est l’auteure de ce texte «La tire».
Source :


 Le 25 novembre
Bonne Fête à toutes celles prénommées Catherine!
http://www.facebook.com/LaPageDesBleuetsDuLacSaintJean


mardi 2 septembre 2014

Recettes: Grand-pères aux bleuets - Confitures aux bleuets






Grand-Pères aux bleuets

Ingrédients
Sauce :
1 lb (454 g) bleuets     
1/2 tasse (125 ml) sucre
1 tasse (250 ml) cassonade
1 tasse (250 ml) eau
Vanille, au goût

Pâte :
1 tasse (250 ml) farine
1/2 tasse (125 ml) lait
2 c.à thé (10 ml) poudre à pâte
2 c.à soupe (30 ml) graisse
1 pincée sel

Étapes
  1. Mélanger les ingrédients de la sauce ensemble et les faire chauffer doucement. Le bouillon est prêt lorsque le sucre et la cassonade sont complètement dilués.
  2. Mélanger les ingrédients de la pâte ensemble et jeter ce mélange par cuillerée dans le bouillon chaud.
  3. Couvrir et laisser bouillir de 12 à 15 minutes à feu doux.
  4. Suggestion: Vous pouvez remplacer les bleuets par des framboises ou des fraises ou même mettre les trois.
4 portions
Note : les bleuets peuvent être congelés ou frais.
Source : http://www.recettes.qc.ca /recettes/recette.php?id=812  










Confitures de bleuets  (conserves)



·        8 tasses de bleuets du Lac Saint-Jean frais ou dégelés.

·        3 c. à table de jus de citron

·        1 tasse de sucre et/ou de miel

·        ¼ c. à thé de cannelle (facultatif)

·      5 pots de 250ml. (1 tasse) chacun, ou l’équivalent, préalablement stérilisés et encore chauds.

                                                  
Préparation 
                            
  • Passer la moitié des bleuets au robot culinaire, jusqu’à ce qu’ils soient presque réduits en purée mais encore croquants    ou   à l’aide d’un pilon à pommes de terre, écraser la moitié des bleuets directement dans une grande casserole
  • Mélanger ensemble les bleuets défaits, les bleuets entiers, le jus de citron, le sucre ou le miel et la cannelle dans la casserole.
  • Porter le mélange à ébullition et le laisser bouillir à feu vif jusqu’à ce qu’il soit plutôt épais, pendant environ 30 minutes.
  • La confiture est prête lorsqu’elle garde sa forme alors qu’on en laisse tomber quelques gouttes sur une assiette froide.
  •       Retirer la confiture du feu.
  •       Écumer toute écume accumulée sur le dessus de la confiture.
  •      Avec une louche, verser la confiture bien chaude dans les pots chauds, jusqu’à 1/2 pouce   du bord des pots.
  •       Sceller les pots.
  •       Les stériliser dans un bain d’eau bouillante ou à la vapeur, pendant 5 minutes
  •     Si nécessaire, resserrer les couvercles avant de laisser les pots reposer pendant 12 heures sans les bouger.
  •     Les conserver dans un endroit frais et sec.




► TABLEAUX  DE CONVERSION  POUR LA CUISINE en cliquant ICI








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