mardi 17 juillet 2012

Ils sont enfin arrivés....

17 juillet 2012

Les ‘bleuets enrobés de chocolat’ des Pères trappistes sont déjà disponibles sur le marché.

Comme nous savons que les Moines utilisent toujours des bleuets frais dans leur recette…. C’est que la récolte  se fait tôt  cette année;
Bonne nouvelle  et  miam miam!!!!

Site internet Monastère Notre-Dame de Mistassini / Chocolaterie:  http://www.monasteremistassini.org/         











Aussi disponibles sur le blogue des Bleuets, les billets suivants :


http://lesbleuetsdulacst-jeanqc.blogspot.ca/2012/07/le-temps-des-bleuets-sen-vient.html 


http://lesbleuetsdulacst-jeanqc.blogspot.ca/2011/08/le-bleuet-un-petit-fruit.html 

 





Au Lac et au Saguenay, en plus des Pères Trappistes,  d’autres chocolatiers et d’autres artisans s’adonnent à la transformation du bleuet…par exemple :
Ø  La maison du bleuet située à St-Félicien (http://www.lamaisondubleuet.com/) ,
Ø  la Chocolaterie  La Java (la Maison Gourmande à Dolbeau-Mistassini),
Ø  les Délices du Lac St-Jean (http://www.delicesdulac.com/ ),
et bien d’autres dont vous retrouverez les coordonnées sur le site internet  du Syndicat des Producteurs de  Bleuets du Québec :
Encourageons les produits de chez-nous!!!         




dimanche 8 juillet 2012

Normandin, capitale agricole de la région









Bienvenue à Normandin!


La ville de Normandin est située au nord du Lac St-Jean et y habitent environ 3200 Normandinois et Normandinoises.

Normandin est reconnue comme un territoire agricole où les cultures, principalement fourragères, sont exceptionnelles étant donné le climat rigoureux. En 1936, Agriculture Canada construisit à Normandin une ferme expérimentale toujours active aujourd'hui et maintenant sous la responsabilité du Centre de recherche et de développement sur les sols et les grandes cultures.



On y trouve aussi des fermes laitières, des fermes d’élevage d’animaux de boucherie, de porcins, de bisons, de cervidés, des fermes d’apiculture, de cultures en serres, ainsi que des bleuetières.


À Normandin, il existe de grandes possibilités industrielles et commerciales, par exemple l’entreprise Nature 3M inc  Mario Bilodeau qui se démarque dans son domaine.


La rivière Ashuapmushuan et la célèbre Chute à l’Ours sont des attraits touristiques incontournables.


Un théâtre d’été  ainsi que le festival Dédé Fortin  pour le côté culturel et le site de la Chute à l’Ours
La rue Principale à Normandin
pour le côté plein air ; à Normandin, il y en a pour tous les goûts.


bleuetière

Site de la Chute à l'Ours à Normandin


Chute à l'Ours sur la rivière Ashuapmushuan (mot d'origine
amérindienne qui signifie 'là où on guette l'orignal')
          






Nature 3M inc. (Mario Bilodeau) = une belle réalisation entreprenariale!

Dès son enfance, Mario Bilodeau se passionnait déjà pour tout ce qui a trait au commerce des fourrures, une passion qui le conduisit à l’excellence dans ce domaine. D’abord initié à la trappe et à la taxidermie, il allait développer avec les années une grande expertise dans le domaine de la confection d’accessoires de fourrure.

C’est en 1985 que débute sa carrière dans le commerce de la fourrure brute qui le mènera à
lancer Nature 3M en 1997 avec la collaboration de Marcel Laplante, spécialisé en affaires et
en production industrielle.

Ayant pour mission de prendre un produit brut acheté dans notre région et d’en faire un
produit fini de qualité, l’entreprise voit à l’utilisation de produits non polluants et provenant
d’une ressource naturelle et renouvelable conformément aux lois et règlements
gouvernementaux en vigueur. Utilisant la presque totalité de la matière première, l’entreprise
achète la peau d’un animal sauvage ou d’élevage, à l’état brut, l’apprête, la naturalise ou la
transforme en divers produits finis. Elle utilise également les sous-produits de l’animal tels
poils, plumes, os, dents et griffes pour en faire des pièces d’artisanat.

Avant-gardiste et fondée sur des valeurs de développement local et de respect de la
ressource faunique, Nature 3M a connu une croissance rapide. En plus de
la tannerie et de la
taxidermie,
elle intègre dans ses installations de Normandin la presque totalité des opérations
de traitement et de confection d’accessoires de fourrure et vêtements de plein air.
La
collection Bilodeau
comprend, en autres, des bottes de plein air en fourrure, testées et
gradées pour un froid rigoureux pouvant aller jusqu’à — 100 degrés Celsius. On y retrouve
aussi des chapeaux, des mitaines, des foulards, des cache-oreilles, des bandes de fourrure,
des coussins, etc. La collection Amishk quant à elle, comprend des vestes et pantalons très
chauds, légers et confortables.

Aujourd’hui, Mario Bilodeau et Marcel Laplante embauchent 40 personnes.






lien cliquable





La Ferme expérimentale de Normandin souffle ses 75 bougies (2011)
La Ferme du Centre de recherche et de développement sur les sols et les grandes cultures (CRDSGC) dresse un bilan après 75 ans d’existence.
03 août 2011
par Mathieu Simard - Cultures
C’était en 1936. Agriculture Canada construisait une ferme expérimentale à Normandin, au nord du Lac-Saint-Jean. À ce moment, le Canada comptait cinq centres de recherche et avait comme volonté de couvrir l’ensemble des environnements géoclimatiques du territoire. « Le Canada constitue un pays vaste et diversifié. En agriculture, ce qui est vrai au sud-ouest de Montréal, dans les terres noires, ne l’est pas nécessairement au Saguenay », lance le directeur scientifique du CRDSGC, Claudel Lemieux.
C’est cette ligne de pensée qui a guidé Agriculture Canada dans l’implantation d’une ferme expérimentale à Normandin, où les variations climatiques sont prononcées. « Le fait de posséder des tentacules dans les régions les plus nordiques ne peut être que favorable aujourd’hui. Surtout dans un contexte de changements climatiques », ajoute M. Lemieux.
Au départ, Normandin était une ferme à vocations multiples et couvrait plusieurs productions animales et toutes les productions végétales. En 1992, la filière animale a été abandonnée et concentrée dans deux fermes au Canada : « Ça nous a permis de focaliser sur certaines cultures comme les grains, le canola et les plantes fourragères », raconte M. Lemieux.
La ferme emploie aujourd’hui 25 personnes, dont quatre chercheurs, ce qui représente une masse salariale d’environ un million de dollars. Le complexe qui abrite le centre comprend entre autres trois laboratoires, une bibliothèque, une salle de conférence, des bureaux, une section consacrée à la machinerie, des chambres à température contrôlée et des séchoirs. Le tout, situé sur un terrain de 145 hectares.
Parmi les percées réalisées dans les dernières années, la Ferme Normandin est responsable de l’apparition du canola dans les paysages de la région : « Nos chercheurs ont été les pionniers de l’implantation et de la promotion des techniques de production du canola lorsqu’ils ont découvert que la plante se prêtait bien au climat frais et humide de la région », explique M. Lemieux. Outre les avancées au niveau de l’adaptation des cultures, les recherches réalisées à Normandin auront aussi permis d’en apprendre davantage sur certaines maladies, dont la hernie.
La constante évolution de l’agriculture a provoqué l’apparition de nouveaux centres de recherche au pays. Le nombre de centres dédiés à l’agriculture est passé à 19, mais la Ferme Normandin ne s’est pas retrouvée isolée. Elle fait toujours partie du réseau, mais se trouve maintenant affiliée au Centre de recherche de Québec. Elle a aussi conservé son mandat de recherche sur les sols en environnement et les grandes cultures. « Assurément un plus pour la région », conclut M. Lemieux.

Pour plus d’informations :

Ø  Site touristique Chute à l’Ours (camping avec et sans service + location de chalets)
 Site internet :   http://www.chutealours.com/         

Ø  Site internet ville de Normandin :   http://www.ville.normandin.qc.ca/       




    




Aussi publié sur le blogue des Bleuets :


Toutes les municipalités du Lac Saint-Jean: Onglet "Tour du Lac"









samedi 7 juillet 2012

Bonne nouvelle : fin du conflit entre les travailleurs et Rio Tinto Alcan à l’aluminerie d’Alma.


La fin du lock-out chez Rio Tinto Alcan accueillie avec soulagement

Mise à jour le vendredi 6 juillet 2012

Les élus du Saguenay-Lac-Saint-Jean se réjouissent de la conclusion d'un nouveau contrat de travail, mettant fin à un lock-out de six mois, à l'aluminerie Alma.

Jeudi, les syndiqués ont accepté l'entente de principe dans une proportion de 82,8 % pour les membres de l'accréditation horaire, de 92,5 % pour ceux du Centre de revêtement des cuves et de 83,3 % pour les employés de bureau.

Le député de Lac-Saint-Jean, Alexandre Cloutier, salue la bonne foi des deux parties qui ont négocié pour en venir à un règlement. Il croit que le temps a fait son oeuvre en permettant de rapprocher les syndiqués et Rio Tinto Alcan.

M. Cloutier espère maintenant que le retour au travail va s'effectuer sans problème. « L'avenir, c'est quoi? C'est de travailler sur les bonnes relations de travail, dit-il. Je veux rappeler à tout le monde que nous sommes une petite région et (que) nous nous croisons tous au centre commercial ou à l'épicerie. Vaut mieux que nous tendions la main et que nous ayons une approche d'ouverture. »

De son côté, le maire d'Alma, Marc Asselin, est très satisfait de l'acceptation, par les travailleurs, de l'entente conclue durant la dernière fin de semaine. Il s'agit, selon lui, d'une victoire pour la ville et pour l'économie de toute la région.

M. Asselin considère que les deux parties sont parvenues à un compromis qui satisfait tout le monde.

« Je pense que tout le monde est gagnant là-dedans, c'est-à-dire que la compagnie va être capable de remettre en fonction l'usine, mais les travailleurs ont tenu leur bout et on voit qu'ils ont protégé leurs emplois comme ils voulaient le faire. » — Marc Asselin, maire d'Alma

Le maire d'Alma croit que la fin du lock-out va apporter la paix sociale qui était une condition essentielle pour le développement de la deuxième phase de l'aluminerie Alma. Il prévoit contacter rapidement la direction de Rio Tinto Alcan pour relancer le projet d'agrandissement.

Pour sa part, le député de Jonquière-Alma, Claude Patry, félicite les travailleurs de l'aluminerie d'Alma. L'ex-président du Syndicat national des employés de l'aluminium d'Arvida (SNEAA) souligne que le conflit de travail s'est déroulé dans le respect.

« Ils peuvent être fiers d'eux autres ce matin, ils peuvent marcher la tête haute, affirme M. Patry. Je pense qu'ils se sont fait respecter. »

Les commerçants d'Alma, qui subissent les effets du lock-out depuis six mois, sont aussi soulagés du règlement du conflit de travail.

La vice-présidente de la Chambre de commerce d'Alma, Marie-Claude Gagnon, mentionne que l'économie régionale a souffert. « Les inquiétudes qui ont pu être soulevées par ce conflit-là au cours des derniers mois par les commerçants viennent de s'estomper, dit-elle. On a tout le temps la durée indéterminée du conflit qui place les commerçants dans une situation d'insécurité. »

L'aluminerie Alma redémarrera progressivement dès la signature du nouveau contrat de travail. Il faudra un délai de trois mois pour remettre en fonction les 288 cuves fermées.
Source :   http://www.radio-canada.ca/regions/saguenay-lac/2012/07/06/001-reactions-rta-entente.shtml






vendredi 6 juillet 2012

Notre ‘tour du Lac’…….à suivre……..


Bientôt, nous ferons des arrêts dans d’autres municipalités du Lac Saint-Jean…..en auto, en moto ou à vélo…..tenez vous prêts(es) à continuer un 'tour du Lac' !
      
     












Toutes les publications du "Tour du Lac" en cliquant  ICI






jeudi 5 juillet 2012

La sixième saison de *La Route des Mille et Une Histoires* (2012)


Un rendez-vous pour tous !  
La série d’aventures théâtrales en plein air qui se déroulera dans le secteur Dolbeau-Mistassini, ces spectacles  de Jimmy Doucet qui font partie de La Route des Mille et Une Histoires en 2012:

La Route des Mille et Une Histoires
débute sa saison 2012
 le 5 juillet .
Carroussel de l'Aventure de nuit(D.M.)
photo Francis Doucet
Secret d'un vieux moulin (Ste-Jeanne-d'Arc)
photo Francis Doucet
  

Des spectacles pour les petits et les grands...
photo Francis Doucet


* Les administrateurs de la Route des Mille et Une Histoires ont pris la décision de terminer leurs activités en 2015.



Mise à Jour 2016 au sujet de  la Route des Mille et Une Histoires et HISTORIQUE, sur le BLOGUE des Bleuets, en cliquant  ICI.





http://www.facebook.com/LaPageDesBleuetsDuLacSaintJean?ref=hlX"*




mercredi 4 juillet 2012

Au Musée amérindien de Mashteuiatsh; l’exposition « Ashini Eshken mak Mikuan ».



Publié le 3 juillet 2012 à 10 h 36  sur  http://www.lbr.ca/index.php?pageID=5&idA=18953  


« Ashini Eshken mak Mikuan »

Le Musée amérindien de Mashteuiatsh
LBR.ca - Le Musée amérindien de Mashteuiatsh est fier et heureux de vous présenter l’exposition « Ashini Eshken mak Mikuan ». Cette exposition est le magnifique résultat d’un projet de création que poursuit l’artiste Allen Grégoire depuis quelques années. Allen sculpte des pièces fabuleuses, des pièces quasi précieuses sculptées dans des andouillers et des panaches de caribou, polies comme des bijoux superbes, qui sont des représentations d’animaux de petites dimensions qui nécessitent minutie, patience et une grande habileté. Il travaille minutieusement chaque pièce sa patience est le témoin de la finesse de ces pièces.Allen Grégoire réalise également de magnifiques dessins composés d’une multitude de petits coups de crayons, des détails incroyables issus des points et des traits de sa mine de plomb. Carcajou, légendes et contes innus inspirent l’artiste, Allen maitrise la pratique du dessin avec une très grande dextérité et une imagination fertile alimente et anime ses sujets. Allen Grégoire se réalise comme artiste et artisan en exprimant sa culture Innue et la nature par de ses œuvres originales.
Allen Grégoire et le Musée sont très heureux d’inviter toute la communauté de Mashteuiatsh au vernissage de l’exposition « Ashini Eshken mak Mikuan » le 12 juillet 2012 à 16h00 au Musée amérindien de Mashteuiatsh.
Source:
Alexie-Ann Robertson
Assistante aux communications / Musée Amérindien de Mashteuiatsh




Le Musée amérindien de Mashteuiatsh

Qui est Allen Grégoire?
Né à Uashat en 1964, Allen pratique la sculpture sur pierre, sur andouiller et os d'orignal. Son intérêt pour l'artisanat traditionnel est apparu à l'âge de sept ans, alors qu'il s'amusait à bricoler dans l'atelier de sa mère Clémentine Jourdain. Cette dernière lui enseigne la couture traditionnelle. Une grande partie du travail d'Allen est consacrée à la miniature, ce qui demande une technique fine et précise, ainsi qu'à la confection de calumets, de bijoux, de jeux d'échecs, de sculptures animalières inspirées de la nature et d'outils traditionnels innus.
Allen est fortement impliqué dans le milieu de l'artisanat. Depuis cinq ans, il participe aux expositions de Terres en vue et au Salon plein air situés à Montréal. Il a fait des démonstrations de sculpture traditionnelle à l'été 2005 au festival TamTam Macadam à Alma. Pendant l'été 2004, il a participé à l'atelier Design et culture matérielle: Développement communautaire et cultures autochtones, où il a conçu une lampe inspirée du loup et un collier de chaman en andouiller et os d'orignal. Il vend régulièrement à des collectionneurs, à la boutique d'artisanat Innu Apakuai de Uashat mak Mani-Utenam et à la boutique du Musée amérindien de Mashteuiatsh. Une série de sculptures sur andouiller fait partie de l'exposition permanente du Musée Shaputuan de Uashat mak Mani-Utenam.
Pour sa production, Allen s'approvisionne en matières premières dans la région de la Beauce ou de Sept-Îles, où il peut trouver de la pierre à savon, des andouillers et de l'os d'orignal ou de caribou. Pour la sculpture sur andouiller, il regarde les formes et sculpte selon ce que celles-ci lui inspirent. Il amorce la sculpture sur pierre en dessinant sur un carton l'animal qu'il souhaite réaliser pour pouvoir ensuite le reproduire sur pierre.
Allen Grégoire a fondé en 2004 l'Alliance des artisans Pekuakamiulnuatsh avec six artisans de Mashteuiatsh. Il a été sélectionné par l'institut culturel et éducatif montagnais (ICEM) pour représenter la culture innue au musée du Louvre, à Paris, en décembre 2005.
Source :  http://alliance.uqac.ca/2004/web_artisans/allen.html  
Oeuvre  d'Allen Grégoire



  
Également publié sur le Blogue des Bleuets:

Mashteuiatsh(Pointe Bleue)... la communauté autochtone du Lac St-Jean     cliquable