jeudi 7 novembre 2013

Vous saurez tout sur la CAPTURE DES LUTINS DE NOËL


Jusqu'à Noël, soyez attentifs aux indices, aux bruits et aux traces de pas dans la neige.
Soyez assurés que des petits  coquins rôdent tout près des logis où habitent des enfants.

Tendez votre piège et vous attraperez peut-être un Lutin de Noël.






À quelle date doit commencer la capture des Lutins de Noël?  
Au moment  choisi  par les parents  puisque la complicité et la collaboration de ceux-ci sont essentielles. 
Plus les Lutins sont capturés tôt, plus les petits coquins s’activeront et joueront des tours...   Après tout, ces joyeux lurons ne  peuvent  quand même pas  rester figés 24 heures sur 24. 

 Quels sont les devoirs des Lutins de Noël?

Le lutin a pour responsabilité d'amuser les enfants à qui il est confié.  Il ne devra en aucun cas leur faire peur ou être méchant.  Comme tous les lutins, il a le droit d'être taquin jusqu’au 24 décembre.

 Qui  sont  les  Lutins  de  Noël?

Comment  peut-on  en  capturer  un?

En quoi consiste un piège à Lutin?

Comment attirer un lutin dans un piège?

Pourquoi les lutins repartent-ils le soir du 24 décembre?

D’où  vient  cette  légende?


Vous trouverez  les réponses à toutes ces 
questions sur ces  trois autres publications du 
*Blogue des Bleuets* :





Liens cliquables:


La Chasse aux lutins de Noël




Une invasion de Lutins de Noël à surveiller dans les prochaines semaines...







et  aussi la VIDÉO que voici
  faite par Tourisme Saguenay/Lac St-Jean
mettant en vedette Monsieur Tremblay de BMR Métabetchouan/Lac-à-la-Croix
qui explique la philosophie entourant la "capture des lutins de Noël"











 Après tout l’important c’est de s’amuser et de la façon qui nous convient … aucune obligation…  il faut juste un minimum d’imagination pour emmagasiner de joyeux souvenirs dans la mémoire  des  enfants.








Petit rappel :
Un lutin ça ne s'achète pas... faut le capturer!


Deux livres ont été publiés pour mieux comprendre la magie des lutins : (disponibles en librairie)
                     ·         La grande aventure d'Orion
                     ·         La Traverse Enchantée
                                          (Auteurs : Nadia Perron et Régis Tremblay)








Publié le 21 novembre 2013
Journal Le Lac Saint Jean
« La traverse des lutins » traverse l'imaginaire

Parents et enfants séduits par la nouvelle histoire
La nuit dernière, il a dû s'en passer de bien belles à la Quincaillerie BMR Tremblay-Laroche de Métabetchouan—Lac-à-la-Croix. D'abord, sur le coup de 18 h, plus de 200 parents et enfants assistaient au lancement du livre de Nadia Perron et Régis Tremblay « La traverse enchantée » qui raconte la vraie histoire des lutins. Sur les centaines de lutins présents, aucun ne bougeait. Mais, quand la visite a quitté le magasin et que l'on a éteint les lumières, attention, les lutins s'en sont donnés à cœur joie.
L'engouement envers le phénomène des lutins ne cesse de croître d'année en année. Cependant, la vraie histoire des lutins a débuté il y a cinq ans à Métabetchouan—Lac-à-la-Croix alors que les petits enfants du copropriétaire de la quincaillerie, Régis Tremblay, ont découvert des traces dans la neige à l'entrée du magasin.
Un premier lutin avait réussi à se faufiler dans le magasin et les employés ont multiplié les pièges pour tenter de l'attraper.
Les lutins restent complètement immobiles le jour. Cependant, la nuit, ils se déplacent partout, sont coquins et font des blagues.
Les employés ont cependant découvert que les lutins adorent le chocolat et on a même imaginé une recette de galettes à lutin pour faciliter leur capture. Et ça, c'est la magie.
On n'achète pas un lutin, il faut le capturer ! 
Régis Tremblay et Nadia Perron
Un 2e livre
« L'an dernier, c'était La grande aventure d'Orion et cette année, c'est La traverse enchantée, c'est la vraie histoire des lutins… Quand on a fondé l'histoire avec Régis Tremblay, c'est vraiment ce qui s'est passé pour vrai dans notre coin ici, Ce que je raconte, c'est ce qui est arrivé. Moi, j'ai fait les dessins de base et une illustratrice infographiste a recréé les personnages. J'avais déjà tout monté le manuscrit » raconte l'auteure de ce 2e tome Nadia Perron.
Décoratrice à la quincaillerie, Nadia Perron a été de toutes les démarches pour créer ce monde des lutins.
« Lui (Régis Tremblay) a fait la première chasse aux lutins avec ses petits-enfants. C'était des traces de chat qu'il y avait par terre. Son petit-fils a demandé, c'est quoi et il a dit que c'était des traces de lutin… Ça l'a parti comme ça. Il y a cinq ans, les premières années que l'on faisait ça, le monde nous prenait pour des malades moi et Régis. Moi, je suis quelqu'un qui dessine et fait plein de choses. Ils sont venus me chercher pour faire plein de choses. J'ai créé la caverne, le courrier du Lutin coquin, le premier petit compte et après, j'ai écrit mes livres » raconte Nadia Perron.
Le premier livre, tiré à 2500 exemplaires, s'est venu comme une trainée de poudre et tout s'annonce qu'il en soit de même pour le second.
En fait, les demandes viennent de partout ailleurs au Québec, des Maritimes et même de la Colombie-Britannique.
« J'ai des téléphones de partout et je ne fournis pas à envoyer des livres. J'essaie d'en distribuer partout où je peux. C'est en demande, c'est fou… Je dirais même que l'on est comme un peu dépassé tellement c'est rendu gros » — Nadia Perron
« J'ai des téléphones de partout et je ne fournis pas à envoyer des livres. J'essaie d'en distribuer partout où je peux. C'est en demande, c'est fou… Je dirais même que l'on est comme un peu dépassé tellement c'est rendu gros. Un simple jeu que l'on faisait ici avec les enfants du coin, c'est devenu énorme » de poursuivre l'auteure.
Nadia Perron tient également à démystifier une chose très importante par rapport aux lutins: « Ici, vous voyez les lutins et il n'y a pas de prix. Ils attendent de se faire capturer. Un lutin, ça ne s'achète pas, ça s'attrape donc, tu ne peux pas avoir de prix sur les lutins. Quand la personne a attrapé un lutin, elle l'amène à la maison, mais attention. Le jour, il est figé, mais la nuit, c'est un malcommode et le 24 décembre, il retourne retrouver le Père Noël qui a besoin d'eux pour distribuer les cadeaux. Le 25 décembre, il n'y aura plus un seul lutin ici. Normalement, ils arrivent avec la première neige », précise Nadia Perron
C'est donc toute la féerie des lutins que raconte « La traverse enchantée ».
Et ce monde imaginaire cesse de l'être quant au matin, les enfants découvrent les mauvais coups que les lutins ont faits pendant la nuit.



Pour réussir la capture des lutins, prévoyez 

des 

galettes ou des sucreries... c'est le secret!


(Note:  Pour ceux qui demandent des informations sur des 'certificats de capture de lutin' et sur l'existence d'une 'chanson pour les attirer'.....  C'est certain que plus le phénomène se répand et devient populaire plus de personnes récupèrent ce phénomène en faisant des ajouts, mais soyez certains que ce qui attire vraiment les lutins c'est un morceau de galette ou une sucrerie, ce que vous avez sous la main)





http://www.facebook.com/LaPageDesBleuetsDuLacSaintJean

Fabien Girard… un passionné des plantes de la forêt boréale!


Biologiste, chercheur, transformateur,
communicateur, vulgarisateur 
et épicier de la forêt boréale;
c’est lui Fabien Girard:

  
Depuis quelques années,  en marge de la crise forestière, Fabien Girard met en valeur  la  découverte de produits non ligneux comestibles tels que plantes et racines de la forêt boréale, dont certaines deviendront des épices et des tisanes.  Au Québec,  des produits comestibles se comptent par centaines  et les plus connus sont le sirop d’érable et les bleuets, lesquels génèrent des revenus économiques considérables. Alors notre visionnaire innove dans l’industrie agroalimentaire et médicinale pour plus de diversité. 
M. Fabien Girard a publié deux bouquins sur le sujet : Le secret des Plantes ‘Flore et minéraux’ ainsi que Le secret des Plantes 2.

(Secrets des plantes : saveurs, élixirs et fragrances de la flore boréale.)

Biographie de l'auteur

Diplômé du Cégep de Saint-Félicien en Technique en milieu naturel, puis de l'Université du Québec à Chicoutimi, le biologiste Fabien Girard est né au Saguenay en 1975. Dès sa tendre enfance, ses parents se rendent compte qu'il a un intérêt certain pour les plantes. Ils décident de stimuler cette curiosité. Puis à l'adolescence, monsieur Girard prend les routes qui le conduiront peu à peu à développer son talent et surtout à le partager avec les autres, entre autres, grâce au Cercle des jeunes naturalistes. Il travaille d'abord plusieurs années dans le nord du Lac-Saint-Jean, plus précisément chez Produits du bois, une filiale de la Coopérative forestière Girardville,  dont il a la responsabilité du département de recherche. À la coopérative de Girardville, par diverses opérations et techniques de laboratoire, il expérimente et extrait des essences végétales à partir de la matière première contenue dans les racines, les tiges, les feuilles, les arbres et les fleurs de la forêt boréale. À l'étape finale de leur transformation, ces essences se retrouvent sous forme d'huiles essentielles, d'onguents, de brumisations, de granules, de farines, de crèmes ou de poudres. Ses recherches ambitieuses lui ont d'ailleurs permis de remporter le prestigieux prix Alphonse-Huard en 2009, dans le cadre du Mérite scientifique régional, ainsi que le titre de personnalité forestière de l'année au Saguenay-Lac-Saint-Jean, trois ans plus tard.


Ses ouvrages parus en 2008 et en 2013, Secrets de plantes I et Secrets de plantes II sont le fruit de plusieurs années de recherche, de découvertes et surtout d'une passion qui ne cesse de grandir au fil des ans. Soulignons que monsieur Girard enseigne maintenant au Cégep de Saint-Félicien et qu'il accepte de donner des conférences sur les sujets traités dans ses deux ouvrages.




  
"Fabien Girard avait eu l'occasion de discuter avec le Dr Richard Béliveau du potentiel anticancéreux des plantes de la forêt boréale."  
(Dr Richard Béliveau, chercheur sur le traitement et la prévention du cancer)


Publié le 09 septembre 2013
Propriétés des plantes contre le cancer
La passion de Fabien Girard au service de la médecine

Le biologiste Fabien Girard, qui travaillait jusqu'à tout récemment à la Coopérative forestière de Girardville à l'élaboration des produits d'Origina, vient d'être engagé par le docteur Richard Béliveau pour faire partie de son équipe de recherche sur le traitement et la prévention du cancer.
 
crédit photo Jimmy Desbiens

Myriam Gauthier
Le Quotidien
(Chicoutimi) La passion du biologiste Fabien Girard pour les plantes de la forêt boréale l'amènera bientôt à Montréal, où il participera activement aux recherches du docteur Richard Béliveau, spécialisé dans le traitement et la prévention du cancer.
Celui qui est le père des produits d'Origina, commercialisés par la Coopérative forestière de Girardville, fait depuis peu partie de l'équipe de recherche du docteur au Centre de cancérologie Charles-Bruneau de l'Hôpital Sainte-Justine.
« Nous expérimentons des extraits de plantes sauvages sur des lignées de cellules cancéreuses de différents organes du corps humain, pour dire enfin aux Québécois qu'on a tout ici pour aider les gens d'ici, explique Fabien Girard. Cet hiver, nous aurons déjà une meilleure idée des plantes sur lesquelles nous concentrerons les recherches. » Le cancer du cerveau serait l'un des cancers ciblés par l'équipe de recherche.
Le Cégep de Saint-Félicien a approché Fabien Girard au printemps, lui demandant d'enseigner l'option cueillette et traitement de champignons forestiers de l'Attestation d'études collégiales en gestion et service de produits fins.
En mai, il a donc quitté la Coopérative forestière de Girardville après avoir travaillé pendant 13 ans à élaborer des épices et des produits cosmétiques à partir de plantes issues de la forêt boréale. Il souhaitait relever de nouveaux défis, d'autant plus que les recherches scientifiques entourant le développement des produits d'Origina sont terminées.
La directrice des ventes et du marketing chez d'Origina, Élise Lavoué, a indiqué au Quotidien que l'entreprise compte continuer à commercialiser de nouveaux produits liés à ces recherches et qu'elle se concentre à la fois sur le développement de produits transformés.
Cet automne, le biologiste agira aussi comme chargé de projets pour le programme Techniques du milieu naturel offert par le Cégep de Saint-Félicien. « Je vais me donner peut-être un an, en étant au cégep et en travaillant d'ici pour le laboratoire, avant de quitter pour Montréal pour y être probablement quelques années », précise M. Girard.
Fabien Girard était en contact depuis quelques années avec le docteur Richard Béliveau, notamment connu pour son livre Les aliments contre le cancer publié en 2006 aux Éditions du Trécarré. Fabien Girard avait à ce moment eu l'occasion de discuter avec lui du potentiel anticancéreux des plantes de la forêt boréale.
« Il m'avait dit qu'un jour nous pourrions faire un projet de recherche ensemble, et ça vient de se concrétiser avec le titulaire de recherche, ajoute M. Girard, visiblement heureux des nouveaux défis qui l'attendent. Tout se place bien, avec mon nouveau livre Secrets de plante 2 qui est bien reçu, et avec les projets qui se placent; on voit que les gens démontrent un intérêt grandissant envers les richesses offertes par nos forêts, autres que le deux par quatre. »


D’Origina : Une gamme de 21 épices
 en provenance de la forêt boréale;
 des produits biologiques et proches de vos valeurs!

BOUTIQUE EN LIGNE:  www.dorigina.com 
COMMANDE PAR TÉLÉPHONE DISPONIBLE : 418-258-3451 POSTE 241
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Mise à jour 2020


mardi 5 novembre 2013

Cartes géographiques et localisation de notre région



"La région tire son nom du lac Saint-Jean et de la rivière Saguenay qui relie le lac au fleuve Saint-Laurent, étant située sur la rive nord du fleuve St-Laurent, au nord de la ville de Québec.

La superficie du Saguenay–Lac-Saint-Jean est de plus de 95000km2 soit la troisième plus grande région du Québec."

Quelques lecteurs du Blogue demandent à voir des cartes... en voici:






Dans la province de Québec,
 la section colorée en orange est la région du Saguenay/Lac St-Jean:
à gauche le Lac St Jean 
et 
à droite la rivière Saguenay.


Municipalités autour du Lac St-Jean

Le Lac St-Jean est relié au Fleuve St-Laurent par la Rivière Saguenay.

                        
  

vendredi 1 novembre 2013

À ne pas oublier... le 3 novembre 2013

 
                                                                
                                                                                 On passe à l'heure d'hiver
 
 
On vote aux élections municipales
 
 

  

Restauration du pont couvert à Ste Jeanne d’Arc











La restauration du Pont Rouge est débutée.  Pour faire suite au billet publié en septembre 2012 sur le blogue des Bleuets, pour avoir accès à un article paru sur  le journal Le Point,  en octobre 2013, qui résume très bien l’ampleur des travaux, cliquez ICI


                           
 



Le pont Rouge de Sainte-Jeanne-d'Arc s'est refait une beauté: 







Également publié sur le Blogue des Bleuets:

Sainte-Jeanne-d’Arc aux abords de la Chute Blanche




         

http://www.facebook.com/LaPageDesBleuetsDuLacSaintJean

mardi 29 octobre 2013

N'oublions pas de reculer l'heure - automne 2013


C'est dans la nuit du 2 au 3 novembre 2013 
que nous devons changer l'heure.




Changement d'heure automne 2013: les conséquences du retour à l'heure normale sur le sommeil

Par Le HuffPost avec PC Publication:    |  Mis à jour: 23/09/2013
Cette année, le retour à l'heure normale aura lieu dans la nuit du 2 au 3 novembre. À 3:00 du matin le dimanche 3 novembre, il faudra reculer les horloges d'une heure. La bonne nouvelle, c'est que les fêtards auront une heure de plus pour faire la fête dans les bars. Toutefois, les insomniaques pourraient écoper.
Pour les lève-tôt, le retour à l'heure apportera plus de luminosité le matin. Toutefois, cela signifie également que le soleil se couchera plus tôt en soirée.
En gagnant une heure de sommeil le 3 novembre, les insomniaques sont à risque de perturber leur cycle circadien. Comme l'expliquait Colleen Carney, directrice du laboratoire sur le sommeil et la dépression de l'université Ryerson, à la Presse canadienne l'an dernier, lorsque nous passons plus de temps au lit, notre corps perçoit que nous avons besoin de moins de sommeil par la suite. Les insomniaques déclenchent ainsi un cercle vicieux.
De plus, les périodes de noirceur prolongées entraînent des effets dépressifs pour une majorité d'individus. Ces symptômes sont encore plus importants chez les insomniaques.
Si vous faites partie des malheureux que Morphée visite rarement, Colleen Carney suggère d'ajuster votre horloge uniquement après votre réveil le 3 novembre, plutôt que la veille.
Pourquoi change-t-on d'heure?
L’heure d’hiver consiste à repasser à l’heure qui avait cours avant le passage à l’heure d’été, en retranchant soixante minutes à l’heure légale au début de la période hivernale. L'heure d'été permettrait d'effectuer des économies d'énergie en réduisant les besoins d'éclairage. Des inconvénients sont toutefois montrés du doigt, comme les troubles du sommeil et la plus grande consommation de la climatisation/chauffage qui compenserait négativement ce gain d'énergie.
Petite histoire
En 1784, Benjamin Franklin suggère l’idée de décaler les heures aux changements de saisons afin d’économiser de l’énergie.
L'Allemagne est le premier pays, le 30 avril 1916, à appliquer concrètement ce changement d'heure. Les Anglais suivent rapidement, le 21 mai 1916. En 1942, un décret instaurant l'heure avancée est adopté dans tout le Canada... décret qui sera abrogé en 1945, le changement d'heure sera alors repris de manière indépendante par les municipalités avant d'être uniformisé le 12 mars 1963.
En 2006, le Canada a suivi les États-Unis qui ont opté pour un prolongement des heures d’été de quatre semaines.
À présent, plus de 70 pays participent à ce décalage horaire.