mercredi 2 mai 2012

"Saint-André-de-l’Épouvante" ou Saint-André-du-lac-Saint-Jean


photo d'archive





Saint-André du Lac St-Jean


Le village :
Le village de Saint-André-du-Lac-Saint-Jean est situé dans la région administrative du Saguenay-Lac-Saint-Jean, à la jonction de la rivière Prudent et de la rivière Métabetchouane, au sud-est de Roberval. Saint-André fait partie de la municipalité régionale de comté du Domaine-du-Roy et de la région touristique du Tour-du-Lac.


Le village regroupe un peu plus de 500 Andréjeannoises et Andréjeannois et se déploie sur une superficie d’environ 156 kilomètres carrés.


Le nom du village rappelle le souvenir de M. André Néron, l’un des premiers colons de ces lieux.

Saint-André-du-Lac-Saint-Jean est appelé communément Saint-André-de-l’Épouvante en raison de la chute de l’Épouvante sur la rivière Métabetchouane qui se trouve sur son territoire. C’est d’ailleurs grâce à la rivière Métabetchouane que le village est né vers la fin du XIXe siècle, quand on commence à y exploiter la forêt et, un peu plus tard, des carrières de granit vert.

Il semblerait que les premiers colons viennent s’y établir en 1888. En 1895, la paroisse de la mission Saint-André est constituée sur une partie du territoire des cantons de De Quen (du nom du prêtre missionnaire Jean De Quen), Métabetchouan et Saint-Hilaire.


Une usine prometteuse de transformation du bois de la compagnie Métabetchouan est fondée dans le village en 1901, mais la même année un incendie a lieu qui anéantit quelques maisons et cette pulperie qui ne sera jamais reconstruite.


Par contre, la Scierie de Saint-André, fondée en 1965, a eu une vie assez longue, elle a assuré l’emploi des résidents jusqu’en 1977.


Le village possède une école primaire, une patinoire extérieure, des terrains de jeux, dont un terrain de baseball, un terrain de tennis et un terrain de planche à roulettes.


Parmi les attraits touristiques, culturels et patrimoniaux, on y remarque la rivière Métabetchouan avec sa célèbre chute et un réseau de sentiers de motoneige et de quad.    
Source :             http://grandquebec.com/villes-quebec/st-andre-lac-st-jean/      


Chutes Saint-André

Pourquoi surnommer le village de St-André-du-Lac-St-Jean,  St-André-de-l’Épouvante ?



·   Selon le site Web www.memoireduquebec.com, l’ancienne appellation de Saint-André-de-l’Épouvante aurait été due au fait que des colons visitant ces terres les trouvèrent si attirantes que la nouvelle se répandit «à l’épouvante» et qu’on assista alors à une véritable course pour le choix des lots.


·     Selon Wikipedia, le village aurait été surnommé ainsi à cause de la Chute de l’Épouvante,  le village de Saint-André-du-Lac-Saint-Jean étant situé au creux plateau des Laurentides aux abords de la rivière Métabetchouane.  Le village située à la hauteur de la Chute de l'Épouvante….lui valut son surnom.



·    Les chevaux seraient à l’origine de l’appellation  ‘’Saint-André de l’Épouvante’’ 


Les chevaux  à l’origine de  

Saint-André de 

« l’Épouvante » 


Plusieurs légendes urbaines racontent l’origine de cette appellation qui surtout fait sourire.

La plus plausible explication et celle qui obtient la quasi-unanimité des Andréjeannois, l'ethnonyme qui désigne le nom des résidents de Saint-André-du-Lac-Saint-Jean, concerne une certaine réaction de chevaux au début de la colonisation.

« Les fidèles se rendaient à cheval à Métabetchouan pour la messe du dimanche. Le parcours habituel obligeait les chevaux à descendre une côte très prononcée. On disait qu’ils partaient « à l’épouvante » d’où le nom de Saint-André de l’Épouvante », explique le maire Gabriel Martel.

Qu'à cela ne tienne, les habitants affichent tout le contraire de cette dénomination. Le maire explique que la carte de visite de sa municipalité est axée sur l’accueil proverbial de ses habitants.

« Le tourisme est très important pour notre municipalité. Lorsque les visiteurs retournent chez eux, ils ont le goût de revenir et ils le font souvent. Nous sommes accueillants, réceptifs à leur moindre besoin », commente-t-il.

Plus de 200 chalets

Sur le long de la rivière Métabetchouan qui serpente tout le territoire de Saint-André, nombreux sont les visiteurs qui se rendent dans les chalets qui s’y trouvent. Que ce soit pour la pêche en été, pour y pratiquer le VTT ou la motoneige, le nombre de passants contribue à l’économie locale.

« Même si une partie du chemin n’est pas sur notre emprise, nous entretenons la route d’accès. C’est pour nous une façon de dire merci aux propriétaires de plus de 200 chalets qui nous apportent de l’eau au moulin ».


Carrière Vert de St-André


Le granit vert:  


Types de roches
Mangérite
Secteur
Saint-François-de-Sales
Région
Saguenay - Lac-Saint-Jean
Mangérite
Saint-André-du-Lac-Saint-Jean
Saguenay - Lac-Saint-Jean
Mangérite et jotunite
Réserve faunique des Laurentides
Saguenay - Lac-Saint-Jean
Syénite
Magpie
Côte-Nord
Leucogabbronorite
Saint-Nazaire
Saguenay - Lac-Saint-Jean
 Depuis le début des années 1990, on a extrait un granit vert en blocs dimensionnels de deux carrières au sud-est du village de St-André. La pierre est utilisée pour la production de panneaux dimensionnés, de tranches et de tuiles minces. Elle est commercialisée sous le nom de Vert Saint-André. La variété Rêve Vert provenait également de ce secteur (Bellemare, 2001, p. 216).
La roche exploitée est une mangérite quartzifère, à grains variant de moyens à grossiers et de couleur gris verdâtre. Elle se compose de 50 % de feldspath potassique, de 20 % de feldspath plagioclase, de 8 % de quartz, de 18 à 20 % de minéraux mafiques (pyroxènes, hornblende) et de 3 à 5 % de minéraux opaques (Ledoux, 1991).

Source : http://www.mrnf.gouv.qc.ca/mines/industrie/architecturale/architecturale-exploitation-substances-granite-verte.jsp 





   Le village de St-André est situé à 34 km de Roberval.






                        


Pour ma part, j'ai une tendance à croire   qu'il est possible que les chevaux prenaient l'épouvante en descendant la côte où est située l'église.....


  




Mise à Jour Octobre 2016


" Sentier de l’Épouvante"  

un sentier pédestre à découvrir.


Hélène Gagnon journaliste,  a signé un article dans un journal régional après avoir marché ce sentier à Saint-André du Lac Saint-Jean.



Publié sur le Blogue des Bleuets:

Toutes les municipalités du Lac Saint-Jean: Onglet "Tour du Lac"


https://www.facebook.com/LaPageDesBleuetsDuLacSaintJean?ref=hlX"*

lundi 30 avril 2012

Agriculture / Suivi: achat massif des terres agricoles au Lac St-Jean



(Source: Radio-Canada) Après avoir fait l'acquisition d'une centaine de lots agricoles au Lac-Saint-Jean, la Banque Nationale et l'investisseur privé Éric Dubé suspendent leurs achats de terres.


Le porte-parole de l'institution financière, Claude Breton, indique que la banque a choisi de conclure les transactions en cours depuis près de 18 mois, mais ne fera plus de nouvelles offres d'achat.

« Il est hors de question d'aller ailleurs si ce n'est pas un modèle gagnant, précise M. Breton. Les gens ont des appréhensions, ce sont des remarques pertinentes et on les entend. »
La Banque Nationale souhaite cultiver les terres dans le but de faire des rendements. Elle espère toutefois que le temps d'arrêt lui permettra de trouver un terrain d'entente satisfaisant pour ses propres intérêts et ceux des producteurs.


Au Lac-Saint-Jean, le préfet de la municipalité régionale de comté (MRC) Domaine-du-Roy, Bernard Généreux, croit que l'institution financière a pris une sage décision. « Le temps d'arrêt va nous permettre de voir plus clair et d'être rassurés pour la suite des choses », dit-il.

De son côté, le président de la Fédération de l'Union des producteurs agricoles du Saguenay-Lac-Saint-Jean, André Fortin, est soulagé de la tournure des événements, même si la banque ne se retire pas complètement du marché.
« Il peut y avoir d'autres organisations, d'autres institutions financières qui viennent dans la région, souligne M. Fortin. C'est important qu'on regarde le contrôle qu'on peut mettre. »

Les producteurs applaudissent aussi la décision de la banque. « Si on veut prendre de l'expansion, on ne sera pas capable de concurrencer une banque, affirme l'un d'eux. Elle nous finance, mais elle achète aussi. C'est problématique. »
« Ça fait monter la valeur des terres, ajoute un autre agriculteur. Ce n'est pas bon pour ceux qui veulent agrandir. Si c'est trop cher, ce ne sera pas achetable. »

Le 17 avril dernier, le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, Pierre Corbeil, a annoncé la réalisation d'une étude sur l'acquisition des terres agricoles au Québec.



Par Radio-Canada le 24 mars, 2013
Le président de l’UPA du Saguenay-Lac-St-Jean salue la volonté de Québec de protéger les terres agricoles
La volonté du gouvernement Marois de considérer le sol agricole québécois comme une ressource naturelle qu'il faut protéger et mettre en valeur réjouit le président régional de l'UPA, Yvon Simard.
Vendredi, le ministre de l'Agriculture François Gendron a présenté, devant 80 représentants du secteur bioalimentaire, les grandes lignes de sa future politique et a entendu les commentaires sur la meilleure façon de la mettre en oeuvre.
Le ministre s'est dit disposé à renforcer les pouvoirs de la Commission de protection du territoire agricole.

Pour le président régional de l'UPA, le milieu agricole ne peut qu'appuyer cette volonté de Québec de protéger les terres:

« Le ministre va s'assurer que les terres demeurent le patrimoine du Québec. Tant et aussi longtemps qu'il va favoriser ça, on va être derrière lui. On ne veut pas que ça serve à la spéculation. On veut que ça serve aux Québécois pour se nourrir », a-t-il affirmé.

Terres agricoles achetées par la Banque Nationale

Yvon Simard s'interroge sur ce que va faire la Banque Nationale avec les 10 000 âcres de terres agricoles qu'elle a achetés au Saguenay-Lac-Saint-Jean en 2011 et 2012.

Il espère que l'institution financière ne laissera pas en friche ces 10 000 âcres de terres. Si c'est le cas, ce sera néfaste pour le milieu rural.

« Dans un mois, on va commencer à penser à semer et on ne sait pas qui va cultiver les terres, s'il y a possibilité de les louer. Ça nous préoccupe. Ces terres-là ne sont pas cultivées cette année. Il y a un impact économique pour la région. C'est du travail dans les champs qui ne se fera pas. C'est du monde qui ne travaillera pas », souligne-t-il.

Le président régional de l'UPA affirme que la Banque nationale ne répond pas aux appels de son organisation depuis quelques semaines.



Mise à jour  -  28 avril 2013
Publié le 28 avril 2013
Par Louis Potvin (Le Quotidien)
Acquisition des terres controversées de la Banque Nationale
Charles Sirois, producteur agricole
(Saint-Félicien) L'homme d'affaires originaire de Chicoutimi Charles Sirois se lance dans le domaine de l'agriculture. Avec un associé, ils achètent toutes les terres agricoles appartenant à la Banque Nationale.
En effet, l'entreprise Pangea terres agricoles, propriété de Serge Fortin et Charles Sirois, va s'accaparer environ 5000 acres de superficies de terres appartenant à la Banque Nationale.
Une annonce officielle devrait être faite d'ici quelques semaines. On devrait également nommer qui aura la responsabilité de cultiver les terres.
Au bureau de Télésystem, compagnie appartenant à Charles Sirois, la personne avec qui nous avons parlé n'a pas démenti la nouvelle. « Monsieur Sirois a toujours été intéressé par les investissements agricoles «, s'est-elle contenté de répondre.
Pour preuve, Pangea terres agricoles a acheté le 14 décembre dernier quatorze terres agricoles pour une somme totale de 11,7 M$, dont la plus chère était 1,8 M$. Des terres agricoles situées à Mascouche, l'Épiphanie, l'Assomption et Saint-Sulpice. Ces terres appartenaient à Serge Fortin et Carole Daigle, l'associé de Sirois dans Pangea.
Pangea terres agricoles a été immatriculée le 24 août 2012. Les secteurs d'activités de la compagnie sont la culture du maïs et d'autres grandes cultures comme il est indiqué sur le registre des entreprises.
La compagnie Pangea a la même adresse que Télésystem, soit le 1250 boulevard René Lévesque à Montréal.
Les deux partenaires devraient s'associer avec des producteurs locaux pour cultiver les champs. Ces terres sont situées dans les secteurs de La Doré, Albanel-Normandin ainsi que Saint-Coeur-de-Marie.
Nutrinor
Selon nos informations, Pangea aurait rencontré Nutrinor pour une possible alliance. La responsable des communications à la coopérative, Sonia Tremblay, a affirmé qu'aucune entente n'a été prise avec de possibles acheteurs des terres appartenant à la Banque Nationale et que ce n'était pas la volonté de Nutrinor non plus.
Des agriculteurs avec qui le journaliste de Progrès-Dimanche a parlé pensent que le seul objectif de ces acquéreurs est de faire de la spéculation pour faire montrer le prix des terres et réaliser des profits. Déjà, certains constatent une hausse marquée du prix. Selon Financement agricole Canada, la valeur a augmenté de 19 % au Québec en 2012.
CAQ
Charles Sirois est le cofondateur de la CAQ et a été à la tête de Télésystème Mobile et Téléglobe. De son côté, Serge Fortin a oeuvré dans différentes entreprises de télécommunication comme Teléglobe et Bell. Aujourd'hui, il dirigerait SR Telecom.
Il a été impossible d'obtenir les commentaires du président de l'union des producteurs agricoles, Yvon Simard.
Reste maintenant à savoir si cette transaction créera la même commotion auprès des producteurs que l'achat massif réalisé par la Banque Nationale.









lundi 23 avril 2012

Oups....conditions météorologiques difficiles....du déjà vu en avril....


Météo: 
Les conditions routières causent plusieurs accidents



(Source: Radio-Canada / 23 avril 2012)

Les mauvaises conditions routières sont à l'origine de plusieurs sorties de route et d'accrochages au Saguenay-Lac-Saint-Jean.

Transports Québec a même fermé la route 169, au nord d'Hébertville, pendant de longues heures. Un camion lourd a renversé son chargement de bois au milieu de la chaussée.
Dans le nord du Lac-Saint-Jean, un véhicule a fait un capotage sur la route 167, dans la réserve faunique Ashuapmushuan, et une voiture a fait une embardée sur la route de contournement à Saint-Félicien. Dans la côte du Cran, à Saint-Prime, une automobile a aussi perdu une roue. Celle-ci a percuté un autre véhicule, mais personne n'a été blessé.
À Saguenay, la circulation se fait également au ralenti sur tout le réseau. Un carambolage impliquant quatre ou cinq véhicules s'est produit tôt en avant-midi sur l'autoroute 70 en direction de Chicoutimi, en raison de la chaussée glissante.

Fermeture d'écoles

L'état des routes oblige la Commission scolaire du Pays-des-Bleuets à annuler, pour l'après-midi, les cours dans toutes les écoles primaires de Roberval, Saint-François-de-Sales, Lac-Bouchette, Saint-André, Chambord, Sainte-Hedwidge, Normandin, Saint-Edmond et Saint-Thomas.

Météo

Le sud-ouest, le centre et l'est du Québec sont balayés par de forts vents accompagnés de pluie, de verglas et de neige, selon les régions.

Plus de 40 mm de pluie, de verglas, de grésil et aussi de la neige sont attendus au cours des prochaines heures dans le sud, le centre et l'est du Québec. L'est de l'Ontario et l'Outaouais sont aussi touchés par la tempête.







À cet article j'ajouterais que le fait que plusieurs automobilistes ont retiré les pneus d'hiver de leur véhicule  complique  les déplacements routiers....

et







Pas surprenant que très peu d'outardes soient arrivées dans notre région....elles n'ont pas le goût de geler leur plumage...lol









mercredi 18 avril 2012

Ça y est: Le Lac est calé !!! (18 avril 2012)



                        Enfin l'été va pouvoir s'installer!



photo Guy Simard, le 18 avril 2012




La date officielle du départ des glaces du
Lac Saint-Jean, selon le juge Guy Simard:

18 avril 2012



Depuis 1916, le 18 avril devient la deuxième date la plus hâtive, la première étant le 14 avril 1945.




aussi sur le blogue des Bleuets:



Suivi de: "Qand le Lac va-t-il caler?" ( 2012)






Pour bientôt le départ des glaces sur le Lac St-Jean ???


Selon les données originales qui  proviennent de la compagnie de transport aérien Air Roberval/air Bellevue,  l’année où le Lac a été libéré de ses glaces le plus tôt serait le 14 avril 1945…... suivi du 21 avril 1987……  au moment où j'écris, trop tard pour battre le record du 14 avril….mais c’est possible qu’il soit libéré avant le 21 avril…..à suivre…..

Voici des photos prises le 17 avril 2012
par M. Guy Simard :










Autres publication du BLOGUE sur le départ des glaces du Lac St-Jean 2012:    (liens cliquables)



Quand le Lac va-t-il caler? (2012)

Suivi de: "Qand le Lac va-t-il caler?" ( 2012)








mardi 17 avril 2012

Tourisme / Le Zoo sauvage ouvrira ses portes comme prévu

Suite à l'embâcle survenu au Zoo Sauvage de St-Félicien il y a un mois..  une bonne nouvelle!





La direction est heureuse d’annoncer que le Zoo ouvrira ses portes aux visiteurs dès le samedi 28 avril, comme prévu à l’horaire initial, malgré les dégâts causés par la crue des eaux du 21 mars dernier.

Tous les secteurs du Zoo seront accessibles aux touristes, la randonnée en train de balade dans le Parc des sentiers de nature ainsi que tous les autres habitats, sauf la section des jeux d’eau et de la petite ferme, mais ce, pour quelques semaines seulement. Les travaux devraient être exécutés d’ici le début de la période forte de l’été. La section du jardin des enfants aura alors un nouveau visage qui séduira à coup sûr les visiteurs.

Des gens de partout ont démontré leur support envers le Zoo face à cet événement. Le Zoo les remercie et sait se montrer à la hauteur de leurs attentes en ouvrant tel que prévu le 28 avril prochain. 













Également publié sur le BLOGUE des Bleuets:

Embâcle au Zoo Sauvage deSt-Félicien qui cause des dommages et des pertes…. (mars 2012)   (lien cliquable)